Dans une intervention à la Wall Street Journal Live Conference, Travis Kalanick a montré du doigt le côté "disruptif" de la voiture autonome pour son business. Et son côté fondamental. En fait sans les voitures autonomes, qui changeraient de fait la relation entre Uber et ses chauffeurs qui deviendront inutiles, Uber pourrait ne pas survivre.
Le groupe fait toutefois face à des géants comme Apple et Google ainsi que divers constructeurs automobile parmi lesquels Tesla qui a déployé en octobre 2015 une mise à jour rendant partiellement autonomes ses modèles.
Pour Kalanick, néanmoins, Google et les autres en sont à 90% du projet mais il pense que pour atteindre les 99,9% du projet, et créer finalement de réelles voitures autonomes, il faudra du temps ; 10 voire 15 ans. Pour ces entreprises la voiture autonome n'est pas un levier de croissance fondamental. Pour Uber, par contre, ça pourrait changer la donne.
Surtout, Uber doit être le premier, que ce soit seul ou avec des partenaires, à réaliser la voiture autonome afin de ne pas se retrouver dans la même position des taxis qui, selon son PDG, voient leur business model mis à mal.
Reste la questiond e la réglementation, chose contre laquelle Uber ne cesse de se heurter partout dans le monde. Pour Travis Kalanick certaines villes vont accepter et d'autres refuser. Et ces dernières ressembleront à des "villes du Moyen-Âge".
Le groupe fait toutefois face à des géants comme Apple et Google ainsi que divers constructeurs automobile parmi lesquels Tesla qui a déployé en octobre 2015 une mise à jour rendant partiellement autonomes ses modèles.
Pour Kalanick, néanmoins, Google et les autres en sont à 90% du projet mais il pense que pour atteindre les 99,9% du projet, et créer finalement de réelles voitures autonomes, il faudra du temps ; 10 voire 15 ans. Pour ces entreprises la voiture autonome n'est pas un levier de croissance fondamental. Pour Uber, par contre, ça pourrait changer la donne.
Surtout, Uber doit être le premier, que ce soit seul ou avec des partenaires, à réaliser la voiture autonome afin de ne pas se retrouver dans la même position des taxis qui, selon son PDG, voient leur business model mis à mal.
Reste la questiond e la réglementation, chose contre laquelle Uber ne cesse de se heurter partout dans le monde. Pour Travis Kalanick certaines villes vont accepter et d'autres refuser. Et ces dernières ressembleront à des "villes du Moyen-Âge".