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L'arrivée de l'opérateur Free dans le mobile en janvier 2012 avait eu un impact majeur sur le secteur des télécoms : le nombre d'opérateur passait alors de 3 à 4, augmentant de fait la concurrence. De plus Free, par ses tarifs agressifs "low-cost" avait contraint les autres opérateurs à baisser leurs prix. Une baisse estimée par Stéphane Richard à près de 50% en trois ans.
Ce mardi 12 janvier 2016, alors que les discussions entre les opérateurs dans le cadre de la possible fusion Orange-Bouygues Telecom se poursuivent, Stéphane Richard a voulu mettre les points sur les i : la baisse des tarifs est désormais un "acquis irréversible" a-t-il déclaré lors de ses vœux à la presse.
"L'un des intérêts d'un retour à trois opérateurs serait qu'on pourrait s'attaquer plus rapidement au problème de la résorption des zones blanches ou grises". Il n'est donc pas question, selon le PDG de l'opérateur historique, d'une opération visant à augmenter les tarifs pour le consommateur.
Il n'empêche que le secteur, si l'opération est menée à bon port, se retrouvera de nouveau avec seulement 3 opérateurs, contre 4 actuellement. La concurrence pourrait y être diminuée puisque sera diminué le choix du consommateur.
Ce scénario reste possible, d'autant plus que, selon Stéphane Richard, les discussions entre les deux acteurs se poursuivent et qu'une décision pourrait être prise dans "quelques semaines". "C'est Martin Bouygues qui est à l'initiative des discussions, ce qui explique que la dynamique est différente" a-t-il précisé.
Ce mardi 12 janvier 2016, alors que les discussions entre les opérateurs dans le cadre de la possible fusion Orange-Bouygues Telecom se poursuivent, Stéphane Richard a voulu mettre les points sur les i : la baisse des tarifs est désormais un "acquis irréversible" a-t-il déclaré lors de ses vœux à la presse.
"L'un des intérêts d'un retour à trois opérateurs serait qu'on pourrait s'attaquer plus rapidement au problème de la résorption des zones blanches ou grises". Il n'est donc pas question, selon le PDG de l'opérateur historique, d'une opération visant à augmenter les tarifs pour le consommateur.
Il n'empêche que le secteur, si l'opération est menée à bon port, se retrouvera de nouveau avec seulement 3 opérateurs, contre 4 actuellement. La concurrence pourrait y être diminuée puisque sera diminué le choix du consommateur.
Ce scénario reste possible, d'autant plus que, selon Stéphane Richard, les discussions entre les deux acteurs se poursuivent et qu'une décision pourrait être prise dans "quelques semaines". "C'est Martin Bouygues qui est à l'initiative des discussions, ce qui explique que la dynamique est différente" a-t-il précisé.