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Le projet de motorisation Hybrid Air se présentait comme une petite révolution dans le monde de l’industrie automobile. Cette nouvelle technologie mélange un moteur thermique avec une propulsion à air comprimé ce qui réduit fortement la consommation de carburant. Une voiture ainsi équipée consommerait entre 30% et 45% en moins que son homologue avec une motorisation classique.
Mais pour développer la technologie PSA Peugeot Citroën aurait dû investir 500 millions d’euros. Le groupe a donc cherché des investisseurs mais selon le journal Les Echos ces derniers n’étaient pas au rendez-vous. Une source au sein de PSA estime, de fait, que les chances pour que le projet Hybrid Air soit porté à terme sont « infimes ».
Le projet n’aurait en effet ni trouvé le soutien des investisseurs ni celui en interne nécessaire pour débloquer les fonds. Sans doute la chute du prix du pétrole a également joué dans la décision, la question de la consommation et donc du prix du plein n’étant plus une priorité. Mais l’abandon reste étonnant puisque Carlos Tavares, président du directoire de PSA, avait annoncé en octobre 2014 que cette technologie était prête pour être industrialisée, mais avait annoncé que sa commercialisation n’allait pas avoir lieu sans certitude de rentabilité.
Par ailleurs, les constructeurs automobiles semblent se diriger vers des motorisations de plus en plus hybrides voire 100% électriques. Une direction que PSA Peugeot Citroën ne peut certes laisser de côté à moins de ne risquer de se faire distancer sur la question par ses concurrents.
Mais pour développer la technologie PSA Peugeot Citroën aurait dû investir 500 millions d’euros. Le groupe a donc cherché des investisseurs mais selon le journal Les Echos ces derniers n’étaient pas au rendez-vous. Une source au sein de PSA estime, de fait, que les chances pour que le projet Hybrid Air soit porté à terme sont « infimes ».
Le projet n’aurait en effet ni trouvé le soutien des investisseurs ni celui en interne nécessaire pour débloquer les fonds. Sans doute la chute du prix du pétrole a également joué dans la décision, la question de la consommation et donc du prix du plein n’étant plus une priorité. Mais l’abandon reste étonnant puisque Carlos Tavares, président du directoire de PSA, avait annoncé en octobre 2014 que cette technologie était prête pour être industrialisée, mais avait annoncé que sa commercialisation n’allait pas avoir lieu sans certitude de rentabilité.
Par ailleurs, les constructeurs automobiles semblent se diriger vers des motorisations de plus en plus hybrides voire 100% électriques. Une direction que PSA Peugeot Citroën ne peut certes laisser de côté à moins de ne risquer de se faire distancer sur la question par ses concurrents.
