L’expertise de votre entreprise se concentre sur la « haute technologie » au travers d’outils innovants dans le domaine du soutien à l’activité de vente. Pouvez-vous nous parler de l’origine d’Innovorder, de son histoire ?
L’idée d’Innovorder est née lors d’un voyage en Asie avec mon associé Romain Melloul. C’est en réalisant une commande dans un restaurant via un support digital inédit que nous avons envisagé de transposer le concept sur le marché européen. Nous avons alors conçu à l’occasion d’un projet de fin d’études une solution de prise de commande dématérialisée, avant d’étendre l’offre sur l’ensemble du parcours client. Nous avons ainsi créé la première suite logicielle complète pour les restaurateurs autour de cinq thématiques : la prise de commande, l’encaissement, la préparation, la fidélisation et la gestion.
Quel a été votre ressort personnel pour concevoir et accompagner cette aventure ?
Nous avions envie d’entreprendre en créant une solution adaptée aux nouveaux besoins des restaurateurs. Leur marché connaît de grandes évolutions depuis ces cinq dernières années, notamment avec l’arrivée de nouveaux acteurs comme Deliveroo. En hypercentre urbain, les rythmes de vie s’accélèrent et les consommateurs recherchent des alternatives pour se restaurer plus rapidement. Nous voulions les accompagner dans leur transformation digitale.
Comment définiriez-vous votre plus-value sur ce marché technologique déjà disputé ?
Dès 2016, Innovorder a été la première entreprise en France à proposer une offre globale pour les restaurateurs. Nous avons développé une expertise sur le marché de la restauration, ce qui nous permet d’anticiper les tendances du marché et d’adapter notre offre en permanence. De plus, nos offres sont modulables et s’adaptent aux besoins spécifiques de nos clients de la restauration commerciale et collective. Nous avons aussi une grande capacité de déploiement qui nous permet d’équiper des réseaux de nombreux points de vente en quelques semaines.
Peut-on parler de proximité et d’écoute de vos clients ?
La disponibilité de nos équipes est un élément fort, constituant la promesse d’Innovorder. L’humain a toujours été très important pour nous, que ce soit en interne avec nos collaborateurs ou en externe avec nos clients ! Nous sommes dans une démarche d’amélioration continue de notre service client et visons les 100 % de satisfaction.
Les magasins sans caisse et a fortiori sans personnel, n’est-ce pas en contradiction totale avec le besoin d’écoute et de conseil du public ? N’est-ce pas dépasser la limite du système ?
Les magasins sans caisse et sans personnel répondent à des besoins qui se développent surtout en hypercentre urbain. Ils s’inscrivent dans la continuité d’une tendance à l’autonomisation des consommateurs, ayant commencé avec les bornes de commande démocratisées par une chaîne historique de restauration rapide. L’intérêt de ce type de service est le gain de temps. Mais dans bien d’autres cas, les clients sont encore très attachés aux contacts humains. Il faut donc considérer la nature de la demande qui est notamment conditionnée par des facteurs démographiques et socioculturels.
Avez-vous des éléments de résultat des tests du concept auprès des consommateurs et qu’en disent-ils ?
Nos clients ont toujours une présence humaine dans leurs restaurants. Pour eux, l’intérêt du digital est plutôt d’automatiser les opérations qui peuvent être prises en charge par des outils, et ainsi permettre aux équipes de se concentrer sur les tâches à haute valeur ajoutée. Elles sont ainsi plus efficaces et permettent un meilleur niveau de service.
Quelle est votre vision du commerce ce demain entre grande distribution et commerce dit de proximité ?
Le commerce de demain ne sera pas uniquement physique ou digital. Son potentiel sera le plus fort lorsqu’il proposera une offre multicanal qui s’inscrit dans une logique de parcours client unique. Le client recherchera à tout instant la fluidité et l’adaptabilité de l’offre.
L’idée d’Innovorder est née lors d’un voyage en Asie avec mon associé Romain Melloul. C’est en réalisant une commande dans un restaurant via un support digital inédit que nous avons envisagé de transposer le concept sur le marché européen. Nous avons alors conçu à l’occasion d’un projet de fin d’études une solution de prise de commande dématérialisée, avant d’étendre l’offre sur l’ensemble du parcours client. Nous avons ainsi créé la première suite logicielle complète pour les restaurateurs autour de cinq thématiques : la prise de commande, l’encaissement, la préparation, la fidélisation et la gestion.
Quel a été votre ressort personnel pour concevoir et accompagner cette aventure ?
Nous avions envie d’entreprendre en créant une solution adaptée aux nouveaux besoins des restaurateurs. Leur marché connaît de grandes évolutions depuis ces cinq dernières années, notamment avec l’arrivée de nouveaux acteurs comme Deliveroo. En hypercentre urbain, les rythmes de vie s’accélèrent et les consommateurs recherchent des alternatives pour se restaurer plus rapidement. Nous voulions les accompagner dans leur transformation digitale.
Comment définiriez-vous votre plus-value sur ce marché technologique déjà disputé ?
Dès 2016, Innovorder a été la première entreprise en France à proposer une offre globale pour les restaurateurs. Nous avons développé une expertise sur le marché de la restauration, ce qui nous permet d’anticiper les tendances du marché et d’adapter notre offre en permanence. De plus, nos offres sont modulables et s’adaptent aux besoins spécifiques de nos clients de la restauration commerciale et collective. Nous avons aussi une grande capacité de déploiement qui nous permet d’équiper des réseaux de nombreux points de vente en quelques semaines.
Peut-on parler de proximité et d’écoute de vos clients ?
La disponibilité de nos équipes est un élément fort, constituant la promesse d’Innovorder. L’humain a toujours été très important pour nous, que ce soit en interne avec nos collaborateurs ou en externe avec nos clients ! Nous sommes dans une démarche d’amélioration continue de notre service client et visons les 100 % de satisfaction.
Les magasins sans caisse et a fortiori sans personnel, n’est-ce pas en contradiction totale avec le besoin d’écoute et de conseil du public ? N’est-ce pas dépasser la limite du système ?
Les magasins sans caisse et sans personnel répondent à des besoins qui se développent surtout en hypercentre urbain. Ils s’inscrivent dans la continuité d’une tendance à l’autonomisation des consommateurs, ayant commencé avec les bornes de commande démocratisées par une chaîne historique de restauration rapide. L’intérêt de ce type de service est le gain de temps. Mais dans bien d’autres cas, les clients sont encore très attachés aux contacts humains. Il faut donc considérer la nature de la demande qui est notamment conditionnée par des facteurs démographiques et socioculturels.
Avez-vous des éléments de résultat des tests du concept auprès des consommateurs et qu’en disent-ils ?
Nos clients ont toujours une présence humaine dans leurs restaurants. Pour eux, l’intérêt du digital est plutôt d’automatiser les opérations qui peuvent être prises en charge par des outils, et ainsi permettre aux équipes de se concentrer sur les tâches à haute valeur ajoutée. Elles sont ainsi plus efficaces et permettent un meilleur niveau de service.
Quelle est votre vision du commerce ce demain entre grande distribution et commerce dit de proximité ?
Le commerce de demain ne sera pas uniquement physique ou digital. Son potentiel sera le plus fort lorsqu’il proposera une offre multicanal qui s’inscrit dans une logique de parcours client unique. Le client recherchera à tout instant la fluidité et l’adaptabilité de l’offre.