La situation est temporaire bien que pas forcément prévue par le groupe : la baisse de 25% de ses tarifs dans certaines villes américaines a entraîné une grogne des chauffeurs du service UberX, le service bas de gamme du groupe. Car, initialement, le salaire des chauffeurs aurait dû également suivre cette baisse de prix.
Mais les conducteurs n’ont pas lâché et finalement le groupe a dû aller à leur encontre et garantir leur salaire de 12 dollars le trajet. Mais avec les nouveaux tarifs en vigueur ce salaire coûte de l’argent à Uber.
En effet, avant le 10 juin 2014, soit avant la baisse de 25% des prix, un trajet avec UberX coûtait 15 dollars et le conducteur touchait 12 dollars, soit un bénéfice de 3 dollars pour Uber. Ce n’est plus le cas.
Le trajet coûte aujourd’hui chez UberX et pendant toute la durée de la promotion 11,25 dollars au client. Le conducteur, lui, continue de toucher ses 12 dollars par course ce qui signifie que la société Uber doit débourser de sa poche 75 centimes de dollars par course pour compenser.
Mais en baissant radicalement les prix, Uber compte bien conquérir de nouveaux clients qui, potentiellement fidèles, pourraient bien continuer d’utiliser ses services une fois le coût du trajet revenu à la normale.
Mais les conducteurs n’ont pas lâché et finalement le groupe a dû aller à leur encontre et garantir leur salaire de 12 dollars le trajet. Mais avec les nouveaux tarifs en vigueur ce salaire coûte de l’argent à Uber.
En effet, avant le 10 juin 2014, soit avant la baisse de 25% des prix, un trajet avec UberX coûtait 15 dollars et le conducteur touchait 12 dollars, soit un bénéfice de 3 dollars pour Uber. Ce n’est plus le cas.
Le trajet coûte aujourd’hui chez UberX et pendant toute la durée de la promotion 11,25 dollars au client. Le conducteur, lui, continue de toucher ses 12 dollars par course ce qui signifie que la société Uber doit débourser de sa poche 75 centimes de dollars par course pour compenser.
Mais en baissant radicalement les prix, Uber compte bien conquérir de nouveaux clients qui, potentiellement fidèles, pourraient bien continuer d’utiliser ses services une fois le coût du trajet revenu à la normale.