C’était l’œuvre de Gerhard Schröder : la transition énergétique devait être une des pierres angulaires du développement de l’Allemagne. Une ligne directrice que l’actuelle chancelière Angela Merkel avait reprise pour elle. Elle était même allée plus loin annonçant, en 2011, que le pays serait sorti du nucléaire. Une décision forte qui avait placé l’Allemagne au rang de modèle à suivre. Mais les choses ont changé.
Car si l’énergie renouvelable constitue aujourd’hui 25% de l’énergie utilisée en Allemagne, ce n’est pas sans conséquences pour les prix. Une conséquence qui se fait ressentir autant sur les ménages que sur l’industrie. Et pourtant l’objectif que s’était fixé le gouvernement était de 80% d’énergie issue des énergies renouvelables en 2050.
Sigmar Gabriel, ministre de l’Economie et de l’Energie, estime toutefois qu’il est temps de freiner la sur-subvention de ce type d’énergies qui a permis la croissance rapide du secteur. Car, pour lui, les prix ont augmenté de près de 24 milliards d’euros par an tous secteurs de l’économie pris en compte.
Ce mardi 21 janvier 2014, Sigmar Gabriel a donc décidé d’annoncer un frein, très demandé par l’industrie allemande qui doit elle aussi faire face à la hausse des prix. « Il faut faire attention à ne pas trop charger la barque » a-t-il déclaré.
Le ministre n’estime toutefois pas que les nouvelles mesures qui seront prises afin de ne donner des aides qu’aux « technologies les plus prometteuses » à savoir l’éolien et le solaire, ne devraient pas faire baisser les prix mais seulement endiguer la hausse.
Car si l’énergie renouvelable constitue aujourd’hui 25% de l’énergie utilisée en Allemagne, ce n’est pas sans conséquences pour les prix. Une conséquence qui se fait ressentir autant sur les ménages que sur l’industrie. Et pourtant l’objectif que s’était fixé le gouvernement était de 80% d’énergie issue des énergies renouvelables en 2050.
Sigmar Gabriel, ministre de l’Economie et de l’Energie, estime toutefois qu’il est temps de freiner la sur-subvention de ce type d’énergies qui a permis la croissance rapide du secteur. Car, pour lui, les prix ont augmenté de près de 24 milliards d’euros par an tous secteurs de l’économie pris en compte.
Ce mardi 21 janvier 2014, Sigmar Gabriel a donc décidé d’annoncer un frein, très demandé par l’industrie allemande qui doit elle aussi faire face à la hausse des prix. « Il faut faire attention à ne pas trop charger la barque » a-t-il déclaré.
Le ministre n’estime toutefois pas que les nouvelles mesures qui seront prises afin de ne donner des aides qu’aux « technologies les plus prometteuses » à savoir l’éolien et le solaire, ne devraient pas faire baisser les prix mais seulement endiguer la hausse.