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Le 23 septembre 2015 Martin Winterkorn quittait la présidence du plus gros constructeur automobile du monde sur fond de dieselgate. Depuis, outre les divers plans de rappel lancés par Volkswagen, le groupe est dans le collimateur des autorités environnementales de plusieurs pays qui devront, au terme de leurs enquêtes, décider de la sanction financière qui frappera le groupe de Wolfsburg.
Mais le parquet de Brunswick, en Allemagne, serait en train d'enquêter directement sur "deux anciens membres du directoire du groupe Volkswagen" dont l'un serait, justement, l'ancien PDG. L'autre personne n'a pas été nommée mais le parquet a voulu préciser qu'il ne s'agirait pas de Hans-Dieter Pötsch, ancien directeur financier et actuel président du conseil de surveillance.
"Il existe assez d'éléments montrant que le devoir de communication sur des pertes financières importantes aurait pu avoir lieu plus tôt" a déclaré le parquet, signifiant que, pour l'instant, les soupçons pesant sur les deux membres du directoire sont de nature financière et non liés à une responsabilité directe dans le scandale.
Des révélations faites par des journaux allemands avaient accusé directement Martin Winterkorn d'en savoir plus sur les logiciels truqueurs que ce qu'il prétendait. Mais le parquet de Brunswick a précisé "qu'aucune découverte concernant un éventuel manquement aggravé au devoir" n'a été faite à ce jour.
Volkswagen risque plusieurs dizaines de milliards d'euros d'amende partout dans le monde dans le cadre de cette affaire de tricherie aux tests anti-pollution.
Mais le parquet de Brunswick, en Allemagne, serait en train d'enquêter directement sur "deux anciens membres du directoire du groupe Volkswagen" dont l'un serait, justement, l'ancien PDG. L'autre personne n'a pas été nommée mais le parquet a voulu préciser qu'il ne s'agirait pas de Hans-Dieter Pötsch, ancien directeur financier et actuel président du conseil de surveillance.
"Il existe assez d'éléments montrant que le devoir de communication sur des pertes financières importantes aurait pu avoir lieu plus tôt" a déclaré le parquet, signifiant que, pour l'instant, les soupçons pesant sur les deux membres du directoire sont de nature financière et non liés à une responsabilité directe dans le scandale.
Des révélations faites par des journaux allemands avaient accusé directement Martin Winterkorn d'en savoir plus sur les logiciels truqueurs que ce qu'il prétendait. Mais le parquet de Brunswick a précisé "qu'aucune découverte concernant un éventuel manquement aggravé au devoir" n'a été faite à ce jour.
Volkswagen risque plusieurs dizaines de milliards d'euros d'amende partout dans le monde dans le cadre de cette affaire de tricherie aux tests anti-pollution.
