Niel, Granjon et Simoncini, 3 net entrepreneurs qui veulent donner aujourd'hui leur chance aux jeunes start-up.
Ce lundi, 300 jeunes entrepreneurs se bousculaient devant les portes du théâtre de Paris pour essayer de convaincre un jury d'exception composé de Xavier Niel, le patron de Free, Marc Simoncini, fondateur de Meetic et Jacques-Antoine Granjon, le PDG de vente-privee.com.
En une minute chrono, chacun de ces jeunes devra présenter son projet, pourquoi il est novateur, et surtout pourquoi ces 3 leaders de l'entrepreneuriat sur le web devraient investir 25 000 dans son projet. Sur les 300 projets, seuls 101 seront retenus, et cela à partir des 1 500 dossiers reçus. Habitués à jouer les business angels pour les start-up, Niel, Simoncini et Granjon donnent encore une fois la place aux jeunes.
Outre les 25 000 euros, les lauréats pourront bénéficier d'un suivi personnalisé de Xavier Niel, de conseils, du réseau des membres du jury, et donc une reconnaissance publique à l'extérieur. Des points importants pour percer aujourd'hui quand on monte sa boîte, et qui, souvent, font pourtant défaut.
D'après Xaviel Niel, le but de la manoeuvre est de donner "ce petit déclic qui peut changer la vie, aider des jeunes qui cherchent à s'en sortir, leur donner le petit coup de pouce qui les fera démarrer". Ajoutant qu'une minute pour convaincre, c'est déjà trop, "quelques secondes suffisent pour saisir l'originalité d'un projet et voir si le jeune a l'énergie pour le porter".
En une minute chrono, chacun de ces jeunes devra présenter son projet, pourquoi il est novateur, et surtout pourquoi ces 3 leaders de l'entrepreneuriat sur le web devraient investir 25 000 dans son projet. Sur les 300 projets, seuls 101 seront retenus, et cela à partir des 1 500 dossiers reçus. Habitués à jouer les business angels pour les start-up, Niel, Simoncini et Granjon donnent encore une fois la place aux jeunes.
Outre les 25 000 euros, les lauréats pourront bénéficier d'un suivi personnalisé de Xavier Niel, de conseils, du réseau des membres du jury, et donc une reconnaissance publique à l'extérieur. Des points importants pour percer aujourd'hui quand on monte sa boîte, et qui, souvent, font pourtant défaut.
D'après Xaviel Niel, le but de la manoeuvre est de donner "ce petit déclic qui peut changer la vie, aider des jeunes qui cherchent à s'en sortir, leur donner le petit coup de pouce qui les fera démarrer". Ajoutant qu'une minute pour convaincre, c'est déjà trop, "quelques secondes suffisent pour saisir l'originalité d'un projet et voir si le jeune a l'énergie pour le porter".