Shutterstock/economiematin
Alors que la crise des migrants ne semble pas proche de la fin et que de plus en plus d'Etats de l'Union Européenne commencent à se poser des questions quant à l'accueil des réfugiés (surtout après les événements de Cologne), il semble nécessaire de trouver des fonds pour accueillir les populations qui fuient la guerre.
Les Etats-Membres de l'Union Européenne, et l'UE elle-même, ont débloqué plusieurs milliards pour faire face à l'afflux de migrants. Mais l'argent manque. Wolfgang Schaüble, dans un entretien accordé que Süddeutsche Zeitung, a trouvé une solution qui ne manquera pas de s'attirer les ires de la population.
Il estime qu'il serait intéressant de taxer les carburants ce qui permettrait de débloquer des fonds et de compenser le manque d'argent des budgets déjà alloués pour faire face à la crise. " Ainsi nous aurions les moyens pour une réponse européenne à la question des réfugiés" a déclaré le ministre.
Il se range toutefois du côté de la chancelière Angela Merkel : le problème doit être traité à la source et notamment "au niveau des frontières extérieures de l'Europe". " Si le problème n'est pas résolu à ce niveau, il le sera au niveau des frontières nationales mais ce serait la pire des solutions" a-t-il continué. Régler le problème au niveau des frontières nationales signerait en effet la fin de Schengen et de la libre circulation des personnes au sein de l'UE.
Les Etats-Membres de l'Union Européenne, et l'UE elle-même, ont débloqué plusieurs milliards pour faire face à l'afflux de migrants. Mais l'argent manque. Wolfgang Schaüble, dans un entretien accordé que Süddeutsche Zeitung, a trouvé une solution qui ne manquera pas de s'attirer les ires de la population.
Il estime qu'il serait intéressant de taxer les carburants ce qui permettrait de débloquer des fonds et de compenser le manque d'argent des budgets déjà alloués pour faire face à la crise. " Ainsi nous aurions les moyens pour une réponse européenne à la question des réfugiés" a déclaré le ministre.
Il se range toutefois du côté de la chancelière Angela Merkel : le problème doit être traité à la source et notamment "au niveau des frontières extérieures de l'Europe". " Si le problème n'est pas résolu à ce niveau, il le sera au niveau des frontières nationales mais ce serait la pire des solutions" a-t-il continué. Régler le problème au niveau des frontières nationales signerait en effet la fin de Schengen et de la libre circulation des personnes au sein de l'UE.