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Trasndev est le principal actionnaire de la SNCM avec près de 66% du capital et il était en conflit avec l’ancien président du directoire, Marc Dufour, dont le mandat n’a pas été renouvelé. Ce dernier, soutenu par les syndicats, n’a pas obtenu les votes des représentants de l’Etat, également actionnaire de la SNCM, qui ont préféré s’abstenir. Leurs votes lui auraient permis de rester à la tête du groupe de transports maritimes.
Ainsi il faut que la SNCM nomme un nouveau président du directoire et Transdev a bien l’intention de mettre quelqu’un en qui elle a confiance. Selon les dernières indiscrétions sur le sujet, le mercredi 28 mai 2014, lors de la réunion du conseil de surveillance, c’est Olivier Diehl qui devrait être proposé et qui devrait, de fait, prendre les rênes de la sNCM.
C’est le PDG de Transdev, Jean-Marc Janaillac, qui aurait proposé M. Diehl pour ce poste. Selon son entourage, M. Diehl a « l’avantage de connaître Marseille » où est basée la SNCM qui, entre autres, fait la connexion entre le continent et l’île de beauté.
Si tout se passe comme prévu, Olivier Diehl devrait prendre ses fonctions le 2 juin 2014 et devrait rapidement rencontrer les représentants des syndicats pour « rétablir le dialogue » alors que la sNCM est depuis plusieurs mois sur le bord de la faillite.
Ainsi il faut que la SNCM nomme un nouveau président du directoire et Transdev a bien l’intention de mettre quelqu’un en qui elle a confiance. Selon les dernières indiscrétions sur le sujet, le mercredi 28 mai 2014, lors de la réunion du conseil de surveillance, c’est Olivier Diehl qui devrait être proposé et qui devrait, de fait, prendre les rênes de la sNCM.
C’est le PDG de Transdev, Jean-Marc Janaillac, qui aurait proposé M. Diehl pour ce poste. Selon son entourage, M. Diehl a « l’avantage de connaître Marseille » où est basée la SNCM qui, entre autres, fait la connexion entre le continent et l’île de beauté.
Si tout se passe comme prévu, Olivier Diehl devrait prendre ses fonctions le 2 juin 2014 et devrait rapidement rencontrer les représentants des syndicats pour « rétablir le dialogue » alors que la sNCM est depuis plusieurs mois sur le bord de la faillite.
