Un spécialiste du développement à la tête de la Banque Mondiale
Selon Jeffrey Sachs, la nomination de Jim Kim représente une avancée considérable pour la Banque Mondiale, jusqu'alors dirigée par des politiciens ou des banquiers. Des personnalités, dont l'expérience et le parcours ne leur donnaient pas les compétences nécessaires pour accomplir les tâches exigées par le poste. Lutter contre la pauvreté n'était pas une priorité à leurs yeux, or, c'est là que réside tout le problème. Jeffrey Sachs salue au passage la clairvoyance et les qualités de dirigeant d'Obama qui a su retenir la candidature de Jim Kim. Ce choix montre que le Président américain a pris conscience des enjeux du développement durable, et ce dernier l'a d’ailleurs clairement exprimé, en affirmant qu'il est temps que la Banque Mondiale, la première agence de développement, soit dirigée par un expert dans ce domaine.
Jim Kim, un spécialiste visionnaire
Jeffrey Sachs, qui a eu l'occasion de travailler avec Kim Jim, s'enthousiasme de sa possible nomination. Il qualifie Kim Jim de visionnaire, capable de trouver des solutions aux problèmes les plus complexes dans les pays pauvres. Audacieux et méthodique, ce dernier possède une grande expérience et a d'ailleurs participé activement aux efforts de L'OMS pour améliorer et étendre l'accès aux médicaments contre le sida. Comme il connait bien les enjeux relatifs au développement durable et les priorités qu'il faudra donner à la Banque Mondiale, sa nomination à ce poste serait un grand pas en avant. Contrairement à ses prédécesseurs, Jim Kim s’attaquera directement aux problèmes de la pauvreté, source de l'instabilité de nombreux pays. Un problème qui a depuis trop longtemps été négligé.
L'importance de la nomination de Jim Kim
Jeffrey Sachs, qui dirige l’Earth Institute au Mali, revient sur le manque de considération de la Banque Mondiale lorsqu'elle n'est pas dirigée par un spécialiste du développement. Ainsi, lorsque son institut fait appel à la Banque Mondiale il y a quelques années, pour l'aider à contenir la pauvreté, cette dernière ne donne pas suite. Pourtant, les risques de conflits étaient flagrants, mais pas aux yeux de l’institution. Voilà pourquoi, il est grand temps qu'un expert du développement dirige la Banque Mondiale.
Jim Kim, candidat favori
Rien n’est encore joué, car l’ancien ministre des Finances colombien, et le ministre des Finances nigérianes ont également été retenus pour le poste. Toutefois, Jeffrey Sachs reste confiant, car Jim Kim est le favori. En effet, les récents évènements au Mali confirment l'importance d'un dirigeant spécialiste du développement, car les réelles sources de problèmes seraient mieux appréhendées, à savoir la pauvreté et la famine. Elles constituent les principaux moteurs des violences. Quoi qu’il en soit, les facteurs de déstabilisation requièrent de toute évidence une meilleure application de la politique de développement durable de la Banque Mondiale. Une politique qui nécessite le professionnalisme d’un spécialiste du développement.
Selon Jeffrey Sachs, la nomination de Jim Kim représente une avancée considérable pour la Banque Mondiale, jusqu'alors dirigée par des politiciens ou des banquiers. Des personnalités, dont l'expérience et le parcours ne leur donnaient pas les compétences nécessaires pour accomplir les tâches exigées par le poste. Lutter contre la pauvreté n'était pas une priorité à leurs yeux, or, c'est là que réside tout le problème. Jeffrey Sachs salue au passage la clairvoyance et les qualités de dirigeant d'Obama qui a su retenir la candidature de Jim Kim. Ce choix montre que le Président américain a pris conscience des enjeux du développement durable, et ce dernier l'a d’ailleurs clairement exprimé, en affirmant qu'il est temps que la Banque Mondiale, la première agence de développement, soit dirigée par un expert dans ce domaine.
Jim Kim, un spécialiste visionnaire
Jeffrey Sachs, qui a eu l'occasion de travailler avec Kim Jim, s'enthousiasme de sa possible nomination. Il qualifie Kim Jim de visionnaire, capable de trouver des solutions aux problèmes les plus complexes dans les pays pauvres. Audacieux et méthodique, ce dernier possède une grande expérience et a d'ailleurs participé activement aux efforts de L'OMS pour améliorer et étendre l'accès aux médicaments contre le sida. Comme il connait bien les enjeux relatifs au développement durable et les priorités qu'il faudra donner à la Banque Mondiale, sa nomination à ce poste serait un grand pas en avant. Contrairement à ses prédécesseurs, Jim Kim s’attaquera directement aux problèmes de la pauvreté, source de l'instabilité de nombreux pays. Un problème qui a depuis trop longtemps été négligé.
L'importance de la nomination de Jim Kim
Jeffrey Sachs, qui dirige l’Earth Institute au Mali, revient sur le manque de considération de la Banque Mondiale lorsqu'elle n'est pas dirigée par un spécialiste du développement. Ainsi, lorsque son institut fait appel à la Banque Mondiale il y a quelques années, pour l'aider à contenir la pauvreté, cette dernière ne donne pas suite. Pourtant, les risques de conflits étaient flagrants, mais pas aux yeux de l’institution. Voilà pourquoi, il est grand temps qu'un expert du développement dirige la Banque Mondiale.
Jim Kim, candidat favori
Rien n’est encore joué, car l’ancien ministre des Finances colombien, et le ministre des Finances nigérianes ont également été retenus pour le poste. Toutefois, Jeffrey Sachs reste confiant, car Jim Kim est le favori. En effet, les récents évènements au Mali confirment l'importance d'un dirigeant spécialiste du développement, car les réelles sources de problèmes seraient mieux appréhendées, à savoir la pauvreté et la famine. Elles constituent les principaux moteurs des violences. Quoi qu’il en soit, les facteurs de déstabilisation requièrent de toute évidence une meilleure application de la politique de développement durable de la Banque Mondiale. Une politique qui nécessite le professionnalisme d’un spécialiste du développement.
