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Alors que Free Mobile n’est sur le marché que depuis 2 ans et demi (le lancement a été effectué en janvier 2012), le secteur pourrait revenir à trois opérateurs. En tout cas Jean-Ludovic Silicani, président de l’Arcep, l’Autorité de régulation des télécoms, ne serait pas contre. Bien au contraire, il estime tout à fait possible une telle fusion.
« De même qu'il était utile en 2008-2009 de faire un entrer un quatrième acteur pour réanimer un marché congelé, stérilisé et inerte sur le mobile, de même aujourd'hui on peut parfaitement envisager que le marché se reconcentre raisonnablement » a déclaré M. Silicani en explicitant que ce reconcentration concernerait Bouygues Telecom, « l’opérateur le moins important du secteur ».
Le secteur français pourrait donc repasser à trois opérateurs même si pour l’instant ce n’est pas la volonté de Martin Bouygues qui a récemment lancé un plan de restructuration dans les effectifs de l’opérateur. 300 millions d’euros par an seraient économisés, notamment via la suppression de 1 500 emplois.
Concernant les prix des forfaits, interrogé par les députés, M. Silicani estime que : « On peut raisonnablement penser que les prix vont atterrir, se stabiliser, à un certain niveau qui ne devrait pas être très différent de celui que l'on connait aujourd'hui d'ici à la fin de l'année ou au début de l'année prochaine ».
« De même qu'il était utile en 2008-2009 de faire un entrer un quatrième acteur pour réanimer un marché congelé, stérilisé et inerte sur le mobile, de même aujourd'hui on peut parfaitement envisager que le marché se reconcentre raisonnablement » a déclaré M. Silicani en explicitant que ce reconcentration concernerait Bouygues Telecom, « l’opérateur le moins important du secteur ».
Le secteur français pourrait donc repasser à trois opérateurs même si pour l’instant ce n’est pas la volonté de Martin Bouygues qui a récemment lancé un plan de restructuration dans les effectifs de l’opérateur. 300 millions d’euros par an seraient économisés, notamment via la suppression de 1 500 emplois.
Concernant les prix des forfaits, interrogé par les députés, M. Silicani estime que : « On peut raisonnablement penser que les prix vont atterrir, se stabiliser, à un certain niveau qui ne devrait pas être très différent de celui que l'on connait aujourd'hui d'ici à la fin de l'année ou au début de l'année prochaine ».