Vers un reconfinement local ou le week-end en France ?
Selon Le Figaro, qui a pu consulter une source proche du gouvernement, plusieurs scénarios sont envisagés par le gouvernement. Outre une avancée du couvre-feu à 19 heures, il serait question de fermer certains lieux publics comme les universités (mais pas les écoles, les collèges ou les lycées), ou encore de recourir massivement au télétravail.
Mais les Français pourraient être soumis à des confinements : pas de manière généralisée comme au printemps 2020, mais de façon localisée et ciblée, ou encore le week-end. Rien n’a été décidé et ce ne sont que des pistes et des hypothèses, mais les faits sont là : pour le gouvernement, reconfiner la population n’est plus un tabou. S’il continue de ne pas vouloir décréter un confinement généralisé, des confinements mineurs pourraient bien être au rendez-vous.
Mais les Français pourraient être soumis à des confinements : pas de manière généralisée comme au printemps 2020, mais de façon localisée et ciblée, ou encore le week-end. Rien n’a été décidé et ce ne sont que des pistes et des hypothèses, mais les faits sont là : pour le gouvernement, reconfiner la population n’est plus un tabou. S’il continue de ne pas vouloir décréter un confinement généralisé, des confinements mineurs pourraient bien être au rendez-vous.
Le Medef s’inquiète
Pas forcément de quoi rassurer le Medef. Interrogé sur RMC, Geoffroy Roux de Bézieux, patron du syndicat des patrons, a estimé qu’un reconfinement généralisé de la population serait tout simplement catastrophique pour l’économie française. Cette dernière « s’effondrerait » et le pays pourrait ne plus « se relever ».
Selon le patron du Medef, les entreprises fermeraient car les petits patrons de TPE et PME ne pourraient plus recourir au Prêt Garanti par l’État (PGE) qui, s’il est avantageux, devra bien être remboursé. Il demande donc au gouvernement de trouver « un équilibre entre économie et santé », ce que semble tenter de faire le gouvernement.
Selon le patron du Medef, les entreprises fermeraient car les petits patrons de TPE et PME ne pourraient plus recourir au Prêt Garanti par l’État (PGE) qui, s’il est avantageux, devra bien être remboursé. Il demande donc au gouvernement de trouver « un équilibre entre économie et santé », ce que semble tenter de faire le gouvernement.