(c) Shutterstock/EconomieMatin
Cette nouvelle offre permet à un voyageur d'emprunter à volonté les lignes iDTGV (sur des parcours de plus de trois heures). Le forfait est proposé à 59,99 euros par mois et est assorti de quelques contraintes. Évidemment, on ne pourra voyager que dans les trains iDTGV, dans des wagons spécifiques limités à 40 passagers maximum.
De plus, les cartes sont nominatives : certes, il ne sera plus utile de présenter un billet au passage du contrôleur, mais on ne pourra pas réserver de places pour ses proches ou sa famille. Chaque voyageur devra disposer de sa propre carte. La réservation (jusqu'à 5 heures avant le départ) se déroule via l'application mobile iDTGVMAX et elle garantie une place assise… dans la limite des places disponibles, donc.
Pour profiter de tout cela, il faudra faire au plus vite et se rendre immédiatement sur le site d'iDTGV, car le nombre d'abonnés est réduit à 10 000 personnes. Et l'offre rencontre un vif succès, puisque plus de 1 000 places ont trouvé preneur en quelques heures.
La SNCF applique donc les recettes de distributeurs de contenus comme Netflix (séries TV, films) ou Spotify (musique) qui, contre une dizaine d'euros mensuels, permettent de consommer à volonté et sans limites. Le groupe ferroviaire met ici à profit son réseau iDTGV low cost, qui depuis 10 ans est une sorte de laboratoire à ciel ouvert, pour expérimenter toutes sortes de concept.
De plus, les cartes sont nominatives : certes, il ne sera plus utile de présenter un billet au passage du contrôleur, mais on ne pourra pas réserver de places pour ses proches ou sa famille. Chaque voyageur devra disposer de sa propre carte. La réservation (jusqu'à 5 heures avant le départ) se déroule via l'application mobile iDTGVMAX et elle garantie une place assise… dans la limite des places disponibles, donc.
Pour profiter de tout cela, il faudra faire au plus vite et se rendre immédiatement sur le site d'iDTGV, car le nombre d'abonnés est réduit à 10 000 personnes. Et l'offre rencontre un vif succès, puisque plus de 1 000 places ont trouvé preneur en quelques heures.
La SNCF applique donc les recettes de distributeurs de contenus comme Netflix (séries TV, films) ou Spotify (musique) qui, contre une dizaine d'euros mensuels, permettent de consommer à volonté et sans limites. Le groupe ferroviaire met ici à profit son réseau iDTGV low cost, qui depuis 10 ans est une sorte de laboratoire à ciel ouvert, pour expérimenter toutes sortes de concept.