A la suite des divers scandales de surveillance qui ont frappé les agences américaines, NSA en premier lieu mais également les programmes PRISM et XKeyScore, les Etats-Unis ont déclaré être prêts à laisser la place à d’autres gouvernements pour la suprématie et le contrôle d’Internet. Une initiative saluée par de nombreux spécialistes dont Tim Berners-Lee, considéré comme le créateur d’Internet tel qu’il se présente aujourd’hui, qui désirerait voire naître une charte de l’Internet.
Mais pour Bill Clinton, qui se prononçait dans le cadre d’un débat organisait par sa fondation Clinton Global Initiative, les Etats-Unis devraient garder pour eux ce contrôle. « De nombreuses personnes qui veulent enlever l’autorité des Etats-Unis sur Internet veulent le faire dans le seul but de détruire la liberté, limiter internet et permettre aux gouvernements de se protéger au lieu de donner du pouvoir à leur peuple ».
Bill Clinton se dit toutefois favorable à un pouvoir partagé sur Internet mais se dit inquiet des résultats de cette initiative. Des inquiétudes par ailleurs partagées par Jimmy Wales fondateur de la Wikimedia Foundation à qui l’on doit, entre autres, le projet d’encyclopédie libre Wikipedia.
Pour Jimmy Wales, membre de l’Icann, l’organisme américain de gestion des adresses internet qui sera en charge de mettre en place ce nouvel organisme de contrôle international d’Internet, des discussions au sein de l’Icann pour faire d’Internet un lieu plus sensible aux « cultures locales » s’apparentaient à des discussions sur la censure.
Mais pour Bill Clinton, qui se prononçait dans le cadre d’un débat organisait par sa fondation Clinton Global Initiative, les Etats-Unis devraient garder pour eux ce contrôle. « De nombreuses personnes qui veulent enlever l’autorité des Etats-Unis sur Internet veulent le faire dans le seul but de détruire la liberté, limiter internet et permettre aux gouvernements de se protéger au lieu de donner du pouvoir à leur peuple ».
Bill Clinton se dit toutefois favorable à un pouvoir partagé sur Internet mais se dit inquiet des résultats de cette initiative. Des inquiétudes par ailleurs partagées par Jimmy Wales fondateur de la Wikimedia Foundation à qui l’on doit, entre autres, le projet d’encyclopédie libre Wikipedia.
Pour Jimmy Wales, membre de l’Icann, l’organisme américain de gestion des adresses internet qui sera en charge de mettre en place ce nouvel organisme de contrôle international d’Internet, des discussions au sein de l’Icann pour faire d’Internet un lieu plus sensible aux « cultures locales » s’apparentaient à des discussions sur la censure.