La création de modèles pour imprimantes 3D nécessite de véritables connaissances en ingénierie et Design exactement comme la création de nouveaux modèles LEGO, qu’ils soient faits par des employés du groupe ou des amateurs. Les deux mondes semblent donc très liés et LEGO confirme cette liaison en annonçant son intérêt croissant pour les imprimantes 3D et les possibilités qu’elles offrent.
C’est le PDG de LEGO, John Goodwin, qui a fait part de l’intérêt de sa société pour ce nouveau type d’impressions dans un entretien accordé au Financial Times. Les possibilités qui s’offriraient pour LEGO seraient en effet gigantesques et cela permettrait à l’entreprise de palier une possible perte de revenus qui pourrait découler de l’adoption massive des imprimantes 3D dans les ménages, adoption dont tous les analystes sont convaincus qu’elle aura lieu.
En effet, en cherchant un peu, on tombe sur des briques de LEGO déjà imprimées grâce à des imprimantes 3D mais le prix d’une imprimante, environ 2 000 euros, fait que ce phénomène est pour l’instant très minoritaire.
LEGO pourrait donc prendre les devants et proposer non seulement aux utilisateurs d’imprimer des briques à l’unité (ce qui ne constituerait pas une perte puisque seuls les passionnés achètent des briques à l’unité) mais également vendre des plans pour impression 3D de modèles et pièces dont la société ne considérerait pas une production en série comme rentable.
Une manière, donc, de renforcer les liens avec ses utilisateurs adultes qui pourraient également, via une plateforme communautaire telle que Cuusoo où les utilisateurs peuvent proposer leurs modèles, donner vie à leurs créations et les partager avec des internautes du monde entier, complétant ainsi l’univers LEGO de pièces originales et uniques.
C’est le PDG de LEGO, John Goodwin, qui a fait part de l’intérêt de sa société pour ce nouveau type d’impressions dans un entretien accordé au Financial Times. Les possibilités qui s’offriraient pour LEGO seraient en effet gigantesques et cela permettrait à l’entreprise de palier une possible perte de revenus qui pourrait découler de l’adoption massive des imprimantes 3D dans les ménages, adoption dont tous les analystes sont convaincus qu’elle aura lieu.
En effet, en cherchant un peu, on tombe sur des briques de LEGO déjà imprimées grâce à des imprimantes 3D mais le prix d’une imprimante, environ 2 000 euros, fait que ce phénomène est pour l’instant très minoritaire.
LEGO pourrait donc prendre les devants et proposer non seulement aux utilisateurs d’imprimer des briques à l’unité (ce qui ne constituerait pas une perte puisque seuls les passionnés achètent des briques à l’unité) mais également vendre des plans pour impression 3D de modèles et pièces dont la société ne considérerait pas une production en série comme rentable.
Une manière, donc, de renforcer les liens avec ses utilisateurs adultes qui pourraient également, via une plateforme communautaire telle que Cuusoo où les utilisateurs peuvent proposer leurs modèles, donner vie à leurs créations et les partager avec des internautes du monde entier, complétant ainsi l’univers LEGO de pièces originales et uniques.