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Swatch a terminé 2013 en croissance. Le chiffre d’affaire a été de 8,82 milliards de francs suisses (7,23 milliards d’euros) et a enregistré une croissance qui frôle les deux chiffres : +8,3% des ventes. DE quoi assurer à Swatch un véritable avenir sans trop de nuages.
Il faut dire que la force de Swatch a été de se positionner sur le secteur milieu de gamme. Sans pour autant délaisser des produits haut de gamme voire luxueux, Swatch reste une marque à la portée du plus grand nombre avec des montres qui se vendent en moyenne moins de 100 euros pièce tout en arborant une certains « classe » et un nom reconnu dans le monde entier.
Ce n’est donc pas étonnant que lors d’une interview au magazine « NZZ am sontag », le président de la direction, Nick Hayek, a annoncé que le groupe allait multiplier ses points de vente. Les ouvertures devraient être nombreuses dans le monde à hauteur de 50 par an avec un objectif de 200 en trois ans ce qui permettra à Swatch d’avoir un réseau de distribution de 1 700 magasins en 2017.
Toutefois, la situation économique reste assez défavorable selon Nick Hayek et les objectifs que le groupe s’est fixé pourraient, selon lui, « glisser » si le marché ne s’améliore pas. Dans cette interview, Nick Hayek donne également un avis important, celui sur les objectifs en termes de bénéfice net, bénéfice qui pour Swatch a été de 1,5 milliard de dollars : il est tout simplement contraire à ce type d’objectifs et estime que « pour développer une marque à long terme il ne faut pas essayer de gagner toujours plus ». Une stratégie qui fonctionne, semble-t-il.
Il faut dire que la force de Swatch a été de se positionner sur le secteur milieu de gamme. Sans pour autant délaisser des produits haut de gamme voire luxueux, Swatch reste une marque à la portée du plus grand nombre avec des montres qui se vendent en moyenne moins de 100 euros pièce tout en arborant une certains « classe » et un nom reconnu dans le monde entier.
Ce n’est donc pas étonnant que lors d’une interview au magazine « NZZ am sontag », le président de la direction, Nick Hayek, a annoncé que le groupe allait multiplier ses points de vente. Les ouvertures devraient être nombreuses dans le monde à hauteur de 50 par an avec un objectif de 200 en trois ans ce qui permettra à Swatch d’avoir un réseau de distribution de 1 700 magasins en 2017.
Toutefois, la situation économique reste assez défavorable selon Nick Hayek et les objectifs que le groupe s’est fixé pourraient, selon lui, « glisser » si le marché ne s’améliore pas. Dans cette interview, Nick Hayek donne également un avis important, celui sur les objectifs en termes de bénéfice net, bénéfice qui pour Swatch a été de 1,5 milliard de dollars : il est tout simplement contraire à ce type d’objectifs et estime que « pour développer une marque à long terme il ne faut pas essayer de gagner toujours plus ». Une stratégie qui fonctionne, semble-t-il.