Areva fait partie des trois entreprises épinglées, suite à l'ouverture de son musée de l'uranium dans d'anciennes mines du Limousin.
C'est ainsi que Veolia Environnement s'est vu décerner le prix "Une pour tous, tout pour moi". Un prix qui récompense la firme menant la politique la plus néfaste en matière d'exploitation de ressources naturelles. Ce prix est décerné à Veolia Environnement pour son implication dans certains projets en Inde.
L'ONG déclare donc qu'alors que "la multinationale se présente en héros apportant l'eau aux pauvres, sur le terrain, les échos sont bien différents : augmentation des tarifs, opacité des contrats de partenariat public-privé, retard des travaux, conflits avec les villageois et les élus locaux".
L'autre prix, "plus vert que vert", est décerné à Areva pour l'ouverture de son musée sur l'uranium, ouvert dans d'anciennes mines du Limousin. L'ONG regrette l'ouverture d'un tel musée, "sans aucun complexe par rapport aux graves impacts sociaux et environnementaux que continuent d'avoir ses mines d'extraction d'uranium dans le monde entier". Areva décroche donc ce prix pour la campagne de communication la plus abusive et la plus trompeuse.
Enfin le prix "Mains sales, poches pleines" est revenu à Auchan pour ne pas avoir reconnu sa responsabilité et pour ne pas avoir indemnisé les victimes de l'effondrement des usines textiles du Rana Plaza au Bangladesh", une usine qui visiblement fabriquait des vêtements pour le distributeur français.
Evidémment, les entreprises "récompensées" ont bien entendu contesté ce genre d'accusations. Affaire à suivre...
L'ONG déclare donc qu'alors que "la multinationale se présente en héros apportant l'eau aux pauvres, sur le terrain, les échos sont bien différents : augmentation des tarifs, opacité des contrats de partenariat public-privé, retard des travaux, conflits avec les villageois et les élus locaux".
L'autre prix, "plus vert que vert", est décerné à Areva pour l'ouverture de son musée sur l'uranium, ouvert dans d'anciennes mines du Limousin. L'ONG regrette l'ouverture d'un tel musée, "sans aucun complexe par rapport aux graves impacts sociaux et environnementaux que continuent d'avoir ses mines d'extraction d'uranium dans le monde entier". Areva décroche donc ce prix pour la campagne de communication la plus abusive et la plus trompeuse.
Enfin le prix "Mains sales, poches pleines" est revenu à Auchan pour ne pas avoir reconnu sa responsabilité et pour ne pas avoir indemnisé les victimes de l'effondrement des usines textiles du Rana Plaza au Bangladesh", une usine qui visiblement fabriquait des vêtements pour le distributeur français.
Evidémment, les entreprises "récompensées" ont bien entendu contesté ce genre d'accusations. Affaire à suivre...