Voulant peser sur la sortie de crise, les patrons des pays du G20 ont longuement préparé leur participation au B20. Ce rendez-vous représente en effet une chance unique de porter la voix des entreprises au plus près de l'oreille des chefs d'État, et d'influencer leurs décisions. Et c'est sur la Côte d'Azur, à l'hôtel Martinez, que tous les patrons du B20 se sont retrouvés, suite à la remise en main propre, de leurs propositions et recommandations, à Nicolas Sarkozy, en sa qualité de président du G20. C'est la patronne du Medef, Laurence Parisot qui, accompagnée de Maurice Lévy (World Economic Forum) et de Gérard Worms (International Chamber of Commerce), remettait au Président français le document, à la veille du G20. L'on résumera les nombreuses propositions du patronat en constatant que l'heure est à la bonne volonté du côté des entreprises, mais que ces dernières attendent que les gouvernements soient à leurs côtés.
Selon les patrons du B20, il est urgent qu'une meilleure coopération économique entre les États se dessine dans les prochains mois, une coopération comme celle qui avait permis de sauver le système après la chute de Lehman Brother en 2008. Ainsi, le patronat des pays du B20 souhaite que des règles soient restaurées pour garantir l'équilibre et éviter les guerres économiques. Des règles dont ils sont prêts à subir les contraintes, preuve de leur bonne volonté. Aussi recommandent-ils à ceux qui les gouvernent, d'imposer à ceux qui ont un déficit budgétaire trop important, de le ramener à un niveau gérable, et que les institutions internationales comme le FMI soient renforcées. Parmi le concentré de bonnes volontés des patrons, on notera également une motivation à réduire la corruption. Une question sensible qui nécessite des efforts du côté des entreprises comme du côté des États. Le patronat se veut donc de bonne volonté, mais attend en retour que les gouvernements le soient également.
Le patronat insiste dans ses propositions, sur l'importance d'une meilleure coordination des politiques économiques, pour que les entreprises puissent évoluer dans un environnement plus propice à leur développement. C’est donc la gouvernance mondiale qui doit s'adapter à la réalité de la crise mondiale, pour que les avancées soient concrètes et les efforts des entreprises, porteurs de croissance. La bonne volonté de ces dernières ne suffira en effet pas à changer les choses, et les chefs d'État doivent leur apporter du soutien s'ils veulent qu’elles s'astreignent à la rigueur. En outre, les patrons du B20 ont également tiré la sonnette d'alarme face à la montée du protectionnisme, ce dernier risquant de créer des conflits économiques, et de mettre à mal les exportations. Les patrons ont également mis l'accent sur les risques des effets cumulatifs que pourrait créer la future réglementation financière, cette dernière étant encore trop incertaine. La volonté de changement est donc palpable, mais faut-il encore que les gouvernements aient entendu la voix de leurs entreprises.
Selon les patrons du B20, il est urgent qu'une meilleure coopération économique entre les États se dessine dans les prochains mois, une coopération comme celle qui avait permis de sauver le système après la chute de Lehman Brother en 2008. Ainsi, le patronat des pays du B20 souhaite que des règles soient restaurées pour garantir l'équilibre et éviter les guerres économiques. Des règles dont ils sont prêts à subir les contraintes, preuve de leur bonne volonté. Aussi recommandent-ils à ceux qui les gouvernent, d'imposer à ceux qui ont un déficit budgétaire trop important, de le ramener à un niveau gérable, et que les institutions internationales comme le FMI soient renforcées. Parmi le concentré de bonnes volontés des patrons, on notera également une motivation à réduire la corruption. Une question sensible qui nécessite des efforts du côté des entreprises comme du côté des États. Le patronat se veut donc de bonne volonté, mais attend en retour que les gouvernements le soient également.
Le patronat insiste dans ses propositions, sur l'importance d'une meilleure coordination des politiques économiques, pour que les entreprises puissent évoluer dans un environnement plus propice à leur développement. C’est donc la gouvernance mondiale qui doit s'adapter à la réalité de la crise mondiale, pour que les avancées soient concrètes et les efforts des entreprises, porteurs de croissance. La bonne volonté de ces dernières ne suffira en effet pas à changer les choses, et les chefs d'État doivent leur apporter du soutien s'ils veulent qu’elles s'astreignent à la rigueur. En outre, les patrons du B20 ont également tiré la sonnette d'alarme face à la montée du protectionnisme, ce dernier risquant de créer des conflits économiques, et de mettre à mal les exportations. Les patrons ont également mis l'accent sur les risques des effets cumulatifs que pourrait créer la future réglementation financière, cette dernière étant encore trop incertaine. La volonté de changement est donc palpable, mais faut-il encore que les gouvernements aient entendu la voix de leurs entreprises.