Ce vendredi 19 octobre, la direction d'Air France-KLM devrait mettre sur la table un nouveau projet d'accord salarial qui a de « fortes chances » d'être signé par la plupart des syndicats de la compagnie aérienne, selon La Tribune. D'après un pilote, « le conflit peut être réglé ». Voilà qui serait un soulagement non seulement pour le nouveau directeur général du groupe, Benjamin Smith, mais aussi pour l'ensemble de l'entreprise qui a perdu 335 millions d'euros pendant les 15 jours d'arrêt de travail subis au printemps.
Cet accord comprend une hausse des salaires rétroactive de 2% au 1er janvier 2018, puis une seconde hausse de 2% au 1er janvier 2019. La direction annonce aussi une nouvelle négociation en octobre prochain. Ce texte est plus intéressant que le précédent projet d'accord que portant l'ancienne direction : 2% en 2018, puis 5% entre 2019 et 2021, soit 1,65% par an pendant trois ans. Un projet qui avait coûté son poste à Jean-Marc Janaillac, l'ex-PDG qui a dû démissionner après avoir perdu un référendum d'entreprise sur le sujet.
L'accord, qui a été présenté ce mercredi par Benjamin Smith, a donc toutes les chances d'obtenir les signatures d'une majorité de syndicats. Exception faite de la CGT et du SNPL, le puissant syndicat des pilotes. Mais ces organisations ne devraient pas s'opposer au texte, ce qui dégage franchement le ciel de l'entreprise qui va pouvoir se tourner vers son avenir.
Cet accord comprend une hausse des salaires rétroactive de 2% au 1er janvier 2018, puis une seconde hausse de 2% au 1er janvier 2019. La direction annonce aussi une nouvelle négociation en octobre prochain. Ce texte est plus intéressant que le précédent projet d'accord que portant l'ancienne direction : 2% en 2018, puis 5% entre 2019 et 2021, soit 1,65% par an pendant trois ans. Un projet qui avait coûté son poste à Jean-Marc Janaillac, l'ex-PDG qui a dû démissionner après avoir perdu un référendum d'entreprise sur le sujet.
L'accord, qui a été présenté ce mercredi par Benjamin Smith, a donc toutes les chances d'obtenir les signatures d'une majorité de syndicats. Exception faite de la CGT et du SNPL, le puissant syndicat des pilotes. Mais ces organisations ne devraient pas s'opposer au texte, ce qui dégage franchement le ciel de l'entreprise qui va pouvoir se tourner vers son avenir.