L’article, écrit par Chris Giles, directeur du secteur Economie du journal, et Ferdinando Giugliano, jeune docteur en Economie issu d’Oxford et éditorialiste au Financial Times, mettrait en avant diverses erreurs dans les données et les graphiques utilisés et avancés par Piketty pour tirer les conclusions qui ont fait de son livre un des best-seller de l’année.
Pour les auteurs de cet article très controversé, Thomas Piketty ayant été encensé de toutes parts, écouté à la Banque Mondiale, à la Maison Blanche et aux Nations Unies (entre autres), il n’y aurait, dans le livre, que « peu de preuves » de la conclusion forte du bouquin, à savoir que l’inégalité entre la richesse aux mains des 1% plus riches et le reste du monde ait augmenté depuis 1970.
Giles et Giugliano n’auraient trouvé que des preuves d’une augmentation de l’inégalité de la richesse détenue par les 10% les plus riches, ce qui change fondamentalement la donne.
Pour le Financial Times, les erreurs seraient issues d’une mauvaise transcription des sources originales ainsi que de l’utilisation de formules incorrectes. Des accusations desquelles Thomas Piketty se défend fermement.
Piketty se dit prêt à changer et améliorer les données de son livre si cela était nécessaire, il convient que « les données qu’on a sur les patrimoines sont imparfaites », mais il accuse le Financial Times de laisser entendre « que cela change des choses aux conclusions alors que cela ne change rien ».
Pour les auteurs de cet article très controversé, Thomas Piketty ayant été encensé de toutes parts, écouté à la Banque Mondiale, à la Maison Blanche et aux Nations Unies (entre autres), il n’y aurait, dans le livre, que « peu de preuves » de la conclusion forte du bouquin, à savoir que l’inégalité entre la richesse aux mains des 1% plus riches et le reste du monde ait augmenté depuis 1970.
Giles et Giugliano n’auraient trouvé que des preuves d’une augmentation de l’inégalité de la richesse détenue par les 10% les plus riches, ce qui change fondamentalement la donne.
Pour le Financial Times, les erreurs seraient issues d’une mauvaise transcription des sources originales ainsi que de l’utilisation de formules incorrectes. Des accusations desquelles Thomas Piketty se défend fermement.
Piketty se dit prêt à changer et améliorer les données de son livre si cela était nécessaire, il convient que « les données qu’on a sur les patrimoines sont imparfaites », mais il accuse le Financial Times de laisser entendre « que cela change des choses aux conclusions alors que cela ne change rien ».