Son parcours
Du haut de ses 35 ans, Saïd Rahmani cumule déjà une grande expérience, tant dans le secteur public que dans le privé, et en France comme à l'international. Diplômé des Ponts et Chaussées à Lyon où il suit une formation d’ingénieur, il obtient également un bac + 5 en management à l'université de New York. Et c'est en 1999, à Washington qu'il entre dans la vie active comme consultant à la banque interaméricaine. L’année d’après, il part à Tananarive capitale de Madagascar dans l’océan Indien pour intégrer le groupe Egis comme ingénieur d'études. Puis, il rentre en France pour rejoindre le secteur public. En 2002, il part s’installer pour quatre ans dans le département de l'Aisne pour y travailler comme ingénieur dans les services décentralisés de l'État.
Saïd Rahmani cumule les expériences
Après avoir été sous la direction départementale de l'équipement de l'Aisne, Saïd Rahmani part au Royaume-Uni et rejoint l’Ambassade de France où il sera pendant deux ans en charge des dossiers de l’énergie, du transport et de l’environnement. Il revient ensuite à Paris où il sera embauché par Jean- Louis Borloo. Alors au ministère de l'Écologie, il intègre les affaires européennes et internationales, grâce à ce dernier. Puis, lorsqu'Éric Besson devient ministre de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique, Saïd Rahmani intègre son cabinet en tant que chargé de l'énergie. C'est sous la direction d’Émeric Burin des Roziers, qui à l'époque est directeur adjoint du pôle énergie du cabinet, que Saïd Rahmani achève son parcours à Bercy lorsqu'il est recruté par General Electric. Un choix judicieux de la part du groupe qui ajoute à ses rangs une pointure.
General Electric s’entoure des meilleurs
Depuis quelque temps, General Electric s’entoure de gens très compétents venant du public, le dernier en date étant Saïd Rahmani, fraichement sorti du cabinet de Luc Besson. Dans le carnet d'adresses de General Electric, on trouve aussi Emmanuel Glimet, ancien directeur de cabinet de la secrétaire d'État chargée du commerce extérieur, ou encore Fabian Delcros, ex-administrateur de la commission européenne, mais aussi Anne-Marie Idrac, tous recrutés récemment. Saïd Rahmani arrive donc au sein d'un groupe habitué aux collaborateurs issus du secteur public. Même Éliane Apert, qui s’occupait, au ministère de la Santé, du fonctionnement et de la qualité des établissements de santé, avait été recrutée par le groupe en 2010. C’est donc en lobbyiste de choix que Saïd Rahmani intègre l'entreprise.
Du haut de ses 35 ans, Saïd Rahmani cumule déjà une grande expérience, tant dans le secteur public que dans le privé, et en France comme à l'international. Diplômé des Ponts et Chaussées à Lyon où il suit une formation d’ingénieur, il obtient également un bac + 5 en management à l'université de New York. Et c'est en 1999, à Washington qu'il entre dans la vie active comme consultant à la banque interaméricaine. L’année d’après, il part à Tananarive capitale de Madagascar dans l’océan Indien pour intégrer le groupe Egis comme ingénieur d'études. Puis, il rentre en France pour rejoindre le secteur public. En 2002, il part s’installer pour quatre ans dans le département de l'Aisne pour y travailler comme ingénieur dans les services décentralisés de l'État.
Saïd Rahmani cumule les expériences
Après avoir été sous la direction départementale de l'équipement de l'Aisne, Saïd Rahmani part au Royaume-Uni et rejoint l’Ambassade de France où il sera pendant deux ans en charge des dossiers de l’énergie, du transport et de l’environnement. Il revient ensuite à Paris où il sera embauché par Jean- Louis Borloo. Alors au ministère de l'Écologie, il intègre les affaires européennes et internationales, grâce à ce dernier. Puis, lorsqu'Éric Besson devient ministre de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique, Saïd Rahmani intègre son cabinet en tant que chargé de l'énergie. C'est sous la direction d’Émeric Burin des Roziers, qui à l'époque est directeur adjoint du pôle énergie du cabinet, que Saïd Rahmani achève son parcours à Bercy lorsqu'il est recruté par General Electric. Un choix judicieux de la part du groupe qui ajoute à ses rangs une pointure.
General Electric s’entoure des meilleurs
Depuis quelque temps, General Electric s’entoure de gens très compétents venant du public, le dernier en date étant Saïd Rahmani, fraichement sorti du cabinet de Luc Besson. Dans le carnet d'adresses de General Electric, on trouve aussi Emmanuel Glimet, ancien directeur de cabinet de la secrétaire d'État chargée du commerce extérieur, ou encore Fabian Delcros, ex-administrateur de la commission européenne, mais aussi Anne-Marie Idrac, tous recrutés récemment. Saïd Rahmani arrive donc au sein d'un groupe habitué aux collaborateurs issus du secteur public. Même Éliane Apert, qui s’occupait, au ministère de la Santé, du fonctionnement et de la qualité des établissements de santé, avait été recrutée par le groupe en 2010. C’est donc en lobbyiste de choix que Saïd Rahmani intègre l'entreprise.