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C’est l’Égypte qui pourrait bien finalement aider le Rafale à trouver sa voie hors de France. Le pays a ainsi signé un accord de principe avec Paris, portant sur la livraison de 24 avions, plus une frégate et des missiles, le tout représentant une somme de 5 milliards d’euros.
Le Caire était venu avec une ambition plus forte, puisque le contrat portait sur deux frégates et un plus grand nombre de missiles. Mais le pays n’a pas les moyens d’assurer une dépense militaire de 7,6 milliards d’euros. Surtout, l’Égypte demandait à la France de garantir 90% de la somme hors acompte — un pourcentage bien trop élevé pour ce type de transaction, car habituellement on parle plutôt de 15%.
Après négociation, Paris a accepté de couvrir 50% de la somme du contrat. Dassault, de son côté, attend de réceptionner le premier chèque avant de sabrer le champagne : l’Égypte doit maintenant mettre sur pied un pool bancaire pour obtenir la somme désirée. Et comme on le sait, les déceptions ont été très nombreuses dans ce dossier.
Le prochain pays qui pourrait ouvrir ses bras au Rafale est l’Inde. Mais là encore, les difficultés sont grandes et rien ne dit que finalement, le pays soit le deuxième dont Dassault pourra revendiquer la fourniture de son avion de combat.
Le Caire était venu avec une ambition plus forte, puisque le contrat portait sur deux frégates et un plus grand nombre de missiles. Mais le pays n’a pas les moyens d’assurer une dépense militaire de 7,6 milliards d’euros. Surtout, l’Égypte demandait à la France de garantir 90% de la somme hors acompte — un pourcentage bien trop élevé pour ce type de transaction, car habituellement on parle plutôt de 15%.
Après négociation, Paris a accepté de couvrir 50% de la somme du contrat. Dassault, de son côté, attend de réceptionner le premier chèque avant de sabrer le champagne : l’Égypte doit maintenant mettre sur pied un pool bancaire pour obtenir la somme désirée. Et comme on le sait, les déceptions ont été très nombreuses dans ce dossier.
Le prochain pays qui pourrait ouvrir ses bras au Rafale est l’Inde. Mais là encore, les difficultés sont grandes et rien ne dit que finalement, le pays soit le deuxième dont Dassault pourra revendiquer la fourniture de son avion de combat.