Pierre Gattaz a critiqué le gouvernement sur certaines lois qui seraient néfastes pour les entreprises françaises. En particulier, la réforme sur les stages qui devrait instaurer des quotas de stagiaires dans les entreprises, une limitation de temps de stage à un maximum de six mois mais surtout l’intégration des stagiaires dans le registre du personnel avec toutes les contraintes que cela implique.
De même, le président du Medef estime que la nouvelle loi sur la pénibilité au travail du 20 janvier 2014 qui change certaines dispositions sur la condition d’âge et la pension de retraite, entre autres, est fait également partie des mesures qui lui font « très très peur » ; il y en aurait une quinzaine en tout. Il demande donc au gouvernement de faire un « moratoire » sur ces réformes afin de garantir la réussite du pacte de responsabilité.
Un pacte sur lequel le gouvernement et le patronat n’arrivent pas à se mettre d’accord. Notamment au niveau des contreparties que le patronat garantit en échange des diverses réductions d’impôt proposées par le gouvernement.
Pierre Gattaz, toujours lors de son intervention à la conférence de presse du Medef, ne veut par exemple pas de « l’observatoire des contreparties » annoncé par François Hollande. Il lui préfèrerait un « comité de suivi du pacte », un terme qu’il considère « beaucoup moins agressif ».
De même, le président du Medef estime que la nouvelle loi sur la pénibilité au travail du 20 janvier 2014 qui change certaines dispositions sur la condition d’âge et la pension de retraite, entre autres, est fait également partie des mesures qui lui font « très très peur » ; il y en aurait une quinzaine en tout. Il demande donc au gouvernement de faire un « moratoire » sur ces réformes afin de garantir la réussite du pacte de responsabilité.
Un pacte sur lequel le gouvernement et le patronat n’arrivent pas à se mettre d’accord. Notamment au niveau des contreparties que le patronat garantit en échange des diverses réductions d’impôt proposées par le gouvernement.
Pierre Gattaz, toujours lors de son intervention à la conférence de presse du Medef, ne veut par exemple pas de « l’observatoire des contreparties » annoncé par François Hollande. Il lui préfèrerait un « comité de suivi du pacte », un terme qu’il considère « beaucoup moins agressif ».