Monoprix avait signé un accord en 2016 pour que ses magasins parisiens situés dans les zones touristiques internationales puissent rester ouverts après 21 heures. Saisi par plusieurs syndicats, la justice a estimé que les conditions de cette entente étaient insuffisantes ; à compter 16 octobre, les magasins avaient l'interdiction d'employer de salariés entre 21 heures et 6 heures du matin. La pénalité se montait à 30 000 euros par magasin ouvert après l'heure fatidique.
Il était dans l'intérêt de l'enseigne de conserver des horaires d'ouverture plus tardifs, ces magasins rendant des services non seulement aux touristes mais aussi aux Parisiens. Sans oublier les salariés : plusieurs d'entre eux étaient les signataires d'une pétition demandant aux autorités d'intervenir dans ce conflit social. Finalement, Monoprix a accepté une majoration de 5% à 15% des heures travaillées après 21 heures pour les personnels en cause.
L'entreprise s'engage également à rembourser les frais de taxi ou de VTC pour les salariés dans l'impossibilité d'emprunter les transports en commun en soirée. Certains magasins pourront même fermer à 23h30. L'accord a été signé par la CFDT et la CFE-CGC ; ces deux syndicats expliquent qu'il y avait une demande forte de la part des salariés. En revanche, la CGT, qui n'est pas signataire de cette entente, pourrait contester l'accord en justice.
Il était dans l'intérêt de l'enseigne de conserver des horaires d'ouverture plus tardifs, ces magasins rendant des services non seulement aux touristes mais aussi aux Parisiens. Sans oublier les salariés : plusieurs d'entre eux étaient les signataires d'une pétition demandant aux autorités d'intervenir dans ce conflit social. Finalement, Monoprix a accepté une majoration de 5% à 15% des heures travaillées après 21 heures pour les personnels en cause.
L'entreprise s'engage également à rembourser les frais de taxi ou de VTC pour les salariés dans l'impossibilité d'emprunter les transports en commun en soirée. Certains magasins pourront même fermer à 23h30. L'accord a été signé par la CFDT et la CFE-CGC ; ces deux syndicats expliquent qu'il y avait une demande forte de la part des salariés. En revanche, la CGT, qui n'est pas signataire de cette entente, pourrait contester l'accord en justice.