Quatre raffineries, sur les neuf que compte la métropole, subissent des blocages intempestifs, en Normandie, à Donges, à Feyzin et à Grandpuits. Ces installations tournent au ralenti depuis le début du mouvement, ce qui provoque des pénuries dans plusieurs stations service, en particulier dans le Grand Ouest. Sur les 12 000 stations installées sur le territoire, un peu plus de 800 sont en rupture totale de leur stock, a précisé Alain Vidalies.
Manuel Valls, en visite à Jérusalem, a lui aussi fait le point sur la situation en se voulant rassurant. « A chacun de ne pas être dans cette position alarmiste qui vise au fond à faire peur. Nous maîtrisons la situation. Nous sommes très déterminés à ce qu’il n’y ait aucune pénurie en France », a-t-il expliqué. Il en appelle à la « responsabilité de tous », et notamment des syndicats à l’origine de ces blocages, la CGT et Force Ouvrière.
Du côté de l'Union française des industries pétrolières, on assure également que le risque d’une pénurie totale est écartée suite aux modifications apportées à la loi travail. Il faudra cependant attendre quelques jours avant que la situation revienne à la normale, le temps de redémarrer les raffineries.
Manuel Valls, en visite à Jérusalem, a lui aussi fait le point sur la situation en se voulant rassurant. « A chacun de ne pas être dans cette position alarmiste qui vise au fond à faire peur. Nous maîtrisons la situation. Nous sommes très déterminés à ce qu’il n’y ait aucune pénurie en France », a-t-il expliqué. Il en appelle à la « responsabilité de tous », et notamment des syndicats à l’origine de ces blocages, la CGT et Force Ouvrière.
Du côté de l'Union française des industries pétrolières, on assure également que le risque d’une pénurie totale est écartée suite aux modifications apportées à la loi travail. Il faudra cependant attendre quelques jours avant que la situation revienne à la normale, le temps de redémarrer les raffineries.