Les blocages et les perturbations dans les transports en commun ou devant les stations-service sont le fait de "salariés et d'agents qui ne sont pas concernés par le projet de loi", pointe Laurent Berger. Il n'accepte pas la dérive des "mouvements d'extrême-gauche" qui "saccagent des locaux de la CFDT ou insultent des salariés", souligne-t-il.
D'après Laurent Berger, il y a "deux causes principales" expliquant la poursuite du mouvement de contestation. La première est le fait du gouvernement, qui a présenté un premier projet mal ficelé; "inacceptable" même. Malheureusement, ce sentiment très négatif a "perduré alors que le texte a largement évolué en faveur des salariés, grâce à notre action".
Et puis il y a ce que le secrétaire général de la CFDT qualifie de "postures" : "Nous assistons à un jeu de rôles où chacun prétend montrer ses muscles. Il y a d'un côté un gouvernement en difficulté et de l'autre une organisation syndicale qui a voulu refaire son unité". Personne ne veut perdre la face dans ce jeu de dupes... Une rencontre entre la ministre du Travail, Myriam El Kohmri, et Philippe Martinez le numéro un de la CGT, est tout de même prévue.
D'après Laurent Berger, il y a "deux causes principales" expliquant la poursuite du mouvement de contestation. La première est le fait du gouvernement, qui a présenté un premier projet mal ficelé; "inacceptable" même. Malheureusement, ce sentiment très négatif a "perduré alors que le texte a largement évolué en faveur des salariés, grâce à notre action".
Et puis il y a ce que le secrétaire général de la CFDT qualifie de "postures" : "Nous assistons à un jeu de rôles où chacun prétend montrer ses muscles. Il y a d'un côté un gouvernement en difficulté et de l'autre une organisation syndicale qui a voulu refaire son unité". Personne ne veut perdre la face dans ce jeu de dupes... Une rencontre entre la ministre du Travail, Myriam El Kohmri, et Philippe Martinez le numéro un de la CGT, est tout de même prévue.