Acquisition de logements : tous les indicateurs sont au vert
148 618 logements ont étés réservés en 2016, contre 122 781 en 2015 et 105 829 en 2014 : une belle croissance dont la Fédération des Promoteurs Immobiliers peut se féliciter. Ce regain d’intérêt se manifeste dans tous les segments : les logements en bloc gagnent 4,1 % de réservations supplémentaires, tandis que les logements au détail progressent de 25,2 %. Mais l’évolution la plus spectaculaire concerne les résidences services : +30,5 % !
Tout commes les années précédentes, en 2016 l’offre commerciale reste proche des 90 000 unités. Mais bonne nouvelle : les logements trouvent plus rapidement preneur. De 14,1 mois en 2014, le délai d’écoulement moyen est passé à 12 mois en 2015 et finalement à 9,1 mois en 2016. Sans surprise, cette moyenne cache des disparités selon les régions : à Nice, il faut 11,3 mois pour vendre un lot, tandis qu’il sufft de 7,6 mois à Nantes et de 5 mois à Bordeaux. Avec 8,5 mois, la région parisienne reste légèrement en-dessous de la moyenne.
Après un léger repli en 2013, les prix continuent une progression modérée, le prix moyen du mètre carré atteignant 4 055 euros contre 3 955 euros en 2015.
Tout commes les années précédentes, en 2016 l’offre commerciale reste proche des 90 000 unités. Mais bonne nouvelle : les logements trouvent plus rapidement preneur. De 14,1 mois en 2014, le délai d’écoulement moyen est passé à 12 mois en 2015 et finalement à 9,1 mois en 2016. Sans surprise, cette moyenne cache des disparités selon les régions : à Nice, il faut 11,3 mois pour vendre un lot, tandis qu’il sufft de 7,6 mois à Nantes et de 5 mois à Bordeaux. Avec 8,5 mois, la région parisienne reste légèrement en-dessous de la moyenne.
Après un léger repli en 2013, les prix continuent une progression modérée, le prix moyen du mètre carré atteignant 4 055 euros contre 3 955 euros en 2015.
Les bons chiffres sont toutefois à relativiser
Sur un an, les mises en vente ont progressé de 10,9 %, totalisant 107 280 lots. Cependant, au regard de la Fédération des Promoteurs Immobiliers, ce n’est pas du tout beaucoup : elle pointe une « forte inertie » du secteur et « des difficultés à produire des logements là où sont les besoins ».
Les mises en chantier, dont le nombre aurait dû atteindre 500 000 si on s’en tient aux objectifs fixés par le gouvernement, n’ont finalement totalisé que 375 000 unités. Pourtant, 500 000 unités est un chiffre qui a déjà pu être atteint dans les années d’avant-crise. Par ailleurs, les bons chiffres de 2016 cachent de mauvaises performances en 2013 et 2014 : pendant ces « années noires », les mises en chantier ne dépassaient pas les 340 000. Afin d’atteindre les 500 000 mises en chantier, les réservations de logements devront concerner au moins 200 000 unités par an, selon la Fédération des Promoteurs Immobiliers.
Les mises en chantier, dont le nombre aurait dû atteindre 500 000 si on s’en tient aux objectifs fixés par le gouvernement, n’ont finalement totalisé que 375 000 unités. Pourtant, 500 000 unités est un chiffre qui a déjà pu être atteint dans les années d’avant-crise. Par ailleurs, les bons chiffres de 2016 cachent de mauvaises performances en 2013 et 2014 : pendant ces « années noires », les mises en chantier ne dépassaient pas les 340 000. Afin d’atteindre les 500 000 mises en chantier, les réservations de logements devront concerner au moins 200 000 unités par an, selon la Fédération des Promoteurs Immobiliers.
