Attention, danger pour le gouvernement. Les prix des carburants dans les stations service ont tous augmenté la semaine passée. Le litre d’essence sans plomb 95 (SP95) a ainsi progressé de 1,69 centime, passant à 1,5802 euro. C’est du jamais vu depuis six ans, et surtout ce prix dépasse celui du mois d’octobre dernier au moment où les « gilets jaunes » ont commencé leur mouvement. Le sans plomb 95 contenant 10% d’éthanol (SP95-E10) coûte désormais 1,554 euro du litre, en hausse de 1,39 centime. Quant au sans plomb 98 (SP98), même histoire avec une augmentation de 1,33 centime pour un litre vendu 1,6402 euro.
Le prix du gazole est lui aussi en hausse à 1,4818 euro du litre, soit une progression de 1,47 centime par rapport à la semaine précédente. Le gazole est le carburant le plus vendu en France, il représente toujours 80% des volumes, malgré le désintérêt de plus en plus marqué des automobilistes français pour le diesel. Ces nouvelles augmentations sont-elles de nature à relancer le mouvement de protestation ? Ce dernier connait une baisse de son intensité depuis plusieurs semaines.
Les prix des carburants dans les stations service sont sensibles aux variations des cours du pétrole bien sûr, et ces derniers n’ont cessé de progresser depuis le début de l’année en raison de la limitation de la production des pays de l’Opep. La variation du taux de change euro/dollar joue aussi un rôle, tout comme l’état des stocks et le niveau des taxes.
Le prix du gazole est lui aussi en hausse à 1,4818 euro du litre, soit une progression de 1,47 centime par rapport à la semaine précédente. Le gazole est le carburant le plus vendu en France, il représente toujours 80% des volumes, malgré le désintérêt de plus en plus marqué des automobilistes français pour le diesel. Ces nouvelles augmentations sont-elles de nature à relancer le mouvement de protestation ? Ce dernier connait une baisse de son intensité depuis plusieurs semaines.
Les prix des carburants dans les stations service sont sensibles aux variations des cours du pétrole bien sûr, et ces derniers n’ont cessé de progresser depuis le début de l’année en raison de la limitation de la production des pays de l’Opep. La variation du taux de change euro/dollar joue aussi un rôle, tout comme l’état des stocks et le niveau des taxes.