La banque de France qui se veut rassurante sur la solidité des banques françaises n'empêche pas un questionnement sur les risques d'une crise de liquidité. En effet, il semblerait que le système bancaire européen aurait un grand besoin de recapitalisation. Ce manque de fonds propres représente une fragilité économique qui se répand de pays en pays et qui engendre un fort risque de trouble économique. Le manque de confiance généré par les pertes de la précédente crise, entraine des chutes vertigineuses des cours en bourses et accroit le risque d'une nouvelle crise, car avec des cours qui ont baissé d'environ -50% pour les banques françaises, et ce, depuis le mois de juillet, les craintes d'un effondrement bancaires persistent et grandissent autour d’un manque de liquidité.
En comptabilisant les dettes des pays européens à leur valeur de marché, le FMI a mis en évidence un besoin des banques européennes de 200 milliards d’euros. Ce besoin a été engendré par des valeurs de marché en forte baisse en Grèce, en Irlande et au Portugal, qui entrainent les autres pays de la zone euro dans une faiblesse économique. C'est pour combler ces pertes de valeur que les banques doivent recapitaliser en urgence, car d'ici peu l'ensemble des états européens pourrait subir une crise de liquidité dont les impacts seraient désastreux. Pour éviter une contagion entre les pays, cette recapitalisation des banques doit se faire au plus vite, et Christine Lagarde, nouvelle présidente du FMI insiste sur l'urgence de renforcer les fonds propres des banques de chaque pays et notamment celles de la France, car en l’absence de liquidité suffisante, une nouvelle crise peut apparaitre à tout moment, ce qui entrainera une faillite globale du système bancaire.
Plus préoccupante que la dette européenne en elle-même, la dévalorisation constante des obligations ne permet pas de mesurer l'ampleur des pertes et donc de savoir si les banques resteront solvables. Cette incertitude place l'Europe dans une situation très complexe qui nécessite des actions rapides pour éviter une crise de liquidité. Les états de l’Union européenne devraient donc être beaucoup plus sensibles à ce risque en reconsidérant les capitaux des systèmes bancaires qui souffrent d’une propagation de la dette souveraine. En effet, les risques d’une crise de liquidité sont majeurs, car en touchant les banques, les dettes publiques et la faible croissance exposent tous les citoyens à des pertes financières considérables. Si une faillite du système bancaire advenait, c’est tous les particuliers et entreprises qui se retrouveraient dans l’incapacité de récupérer leur épargne et toute liquidité placée dans les banques. Cela aurait des conséquences économiques dévastatrices. Pourtant, l’Union européenne semble toujours ne pas prendre en compte cette possibilité.
En comptabilisant les dettes des pays européens à leur valeur de marché, le FMI a mis en évidence un besoin des banques européennes de 200 milliards d’euros. Ce besoin a été engendré par des valeurs de marché en forte baisse en Grèce, en Irlande et au Portugal, qui entrainent les autres pays de la zone euro dans une faiblesse économique. C'est pour combler ces pertes de valeur que les banques doivent recapitaliser en urgence, car d'ici peu l'ensemble des états européens pourrait subir une crise de liquidité dont les impacts seraient désastreux. Pour éviter une contagion entre les pays, cette recapitalisation des banques doit se faire au plus vite, et Christine Lagarde, nouvelle présidente du FMI insiste sur l'urgence de renforcer les fonds propres des banques de chaque pays et notamment celles de la France, car en l’absence de liquidité suffisante, une nouvelle crise peut apparaitre à tout moment, ce qui entrainera une faillite globale du système bancaire.
Plus préoccupante que la dette européenne en elle-même, la dévalorisation constante des obligations ne permet pas de mesurer l'ampleur des pertes et donc de savoir si les banques resteront solvables. Cette incertitude place l'Europe dans une situation très complexe qui nécessite des actions rapides pour éviter une crise de liquidité. Les états de l’Union européenne devraient donc être beaucoup plus sensibles à ce risque en reconsidérant les capitaux des systèmes bancaires qui souffrent d’une propagation de la dette souveraine. En effet, les risques d’une crise de liquidité sont majeurs, car en touchant les banques, les dettes publiques et la faible croissance exposent tous les citoyens à des pertes financières considérables. Si une faillite du système bancaire advenait, c’est tous les particuliers et entreprises qui se retrouveraient dans l’incapacité de récupérer leur épargne et toute liquidité placée dans les banques. Cela aurait des conséquences économiques dévastatrices. Pourtant, l’Union européenne semble toujours ne pas prendre en compte cette possibilité.