Réouverture progressive
Les cafés et les restaurants doivent rouvrir à partir du 19 mai, a expliqué Alain Griset, le ministre délégué aux PME au micro de Sud Radio. Et ce, même avec une activité réduite aux terrasses dans un premier temps, avec un couvre-feu à 21 heures et une limite à six convives par table. À compter du 9 juin, le couvre-feu sera repoussé à 23 heures, avec l'ouverture des salles en plus. Ce n'est qu'à partir du 30 juin que le couvre-feu prendra fin, tout comme les jauges dans les salles et les tables.
En dépit de ces limites imposées par le contexte sanitaire, « il est évident que chacun doit reprendre l’activité. Les restaurateurs qui nous ont beaucoup demandé de rouvrir, je ne comprendrais pas pourquoi certains resteraient fermés », assure le ministre délégué. Le gouvernement a mis en place une prolongation du fonds de solidarité qui va permettre aux cafés et aux restaurants d'en bénéficier peu importe le chiffre d'affaires perdu.
En dépit de ces limites imposées par le contexte sanitaire, « il est évident que chacun doit reprendre l’activité. Les restaurateurs qui nous ont beaucoup demandé de rouvrir, je ne comprendrais pas pourquoi certains resteraient fermés », assure le ministre délégué. Le gouvernement a mis en place une prolongation du fonds de solidarité qui va permettre aux cafés et aux restaurants d'en bénéficier peu importe le chiffre d'affaires perdu.
Des aides qui vont se maintenir
Cet accompagnement concerne d'autres secteurs, car si la restauration et les cafés vont pouvoir reprendre une activité, ce sera plus difficile pour l'événementiel. Alain Griset reconnait qu'il y aura un « temps de latence » dans ce dernier cas, tandis que les hôtels risquent de souffrir d'un « manque de clients » pendant une période indéterminée dans plusieurs grandes villes et à Paris faute de touristes.
Le ministre s'est également exprimé sur un éventuel décalage des soldes d'été et sur la durée de l'événement. Une réunion aura lieu la semaine dernière sur ce dossier, et une décision est attendue dans les quinze jours. Enfin, il n'est pas (encore ?) question d'une « opération flash » de promotions car « il n'y a pas de demande particulière ». Néanmoins, Alain Griset estime que tout est envisageable pour peu que les professionnels le demande.
Le ministre s'est également exprimé sur un éventuel décalage des soldes d'été et sur la durée de l'événement. Une réunion aura lieu la semaine dernière sur ce dossier, et une décision est attendue dans les quinze jours. Enfin, il n'est pas (encore ?) question d'une « opération flash » de promotions car « il n'y a pas de demande particulière ». Néanmoins, Alain Griset estime que tout est envisageable pour peu que les professionnels le demande.