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En cause, le glyphosate, principe actif du pesticide, qualifié d’agent cancérigène par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de Lyon. L’association de consommateurs CLCV avait interpellé les autorités à ce sujet il y a quelques jours, et le ministère de l’Écologie a donc emboîté le pas.
À terme, le Roundup ne devrait donc être proposé aux jardiniers amateurs que sur les conseils avisés de « vendeurs certifiés ». C’est le sens du projet de législation commune entre les ministères de l’Écologie et de l’Agriculture et qui prendra effet le 1er janvier 2018.
Monsanto, qui fabrique le pesticide, s’est dit prêt à collaborer avec les autorités pour renseigner le consommateur et réaliser les changements nécessaires.
À terme, le Roundup ne devrait donc être proposé aux jardiniers amateurs que sur les conseils avisés de « vendeurs certifiés ». C’est le sens du projet de législation commune entre les ministères de l’Écologie et de l’Agriculture et qui prendra effet le 1er janvier 2018.
Monsanto, qui fabrique le pesticide, s’est dit prêt à collaborer avec les autorités pour renseigner le consommateur et réaliser les changements nécessaires.