Sous Nicolas Sarkozy, en effet, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel n’avait plus l’autorité pour nommer le président de Radio France. Une loi passée pendant son quinquennat avait transférer le pouvoir de décision de nomination au sien de l’audiovisuel public directement aux mains du Président de la République.
Sur les douze candidats initialement prévus, le CSA n’en a retenus que six et le nom du futur président de la radio publique ne sera connu que le 7 mars 2014 après le vote, qui se tiendra à bulletin secret.
Entre temps, les neuf membres du CSA vont auditionner un par un les six candidats de cette « short-list » pour décider qui prendra la tête de la radio publique après Jean-Luc Hees. A moins que ce dernier ne soit réélu.
En effet, on trouve non seulement l’actuel président de Radio France parmi les potentiels candidats, mais également le secrétaire général de France Télévisions, Martin Adjari, la directrice générale d’Arte France, Anne Durupty ou encore Philippe Gault, président du Syndicat des radios et télévisions indépendantes.
Clôturent la « short-list » Anne Brucy, ancienne directrice de France Bleu et Matthieu Gallet, président de l’INA, qui avait déclaré ne pas être candidat à ce poste.
Sur les douze candidats initialement prévus, le CSA n’en a retenus que six et le nom du futur président de la radio publique ne sera connu que le 7 mars 2014 après le vote, qui se tiendra à bulletin secret.
Entre temps, les neuf membres du CSA vont auditionner un par un les six candidats de cette « short-list » pour décider qui prendra la tête de la radio publique après Jean-Luc Hees. A moins que ce dernier ne soit réélu.
En effet, on trouve non seulement l’actuel président de Radio France parmi les potentiels candidats, mais également le secrétaire général de France Télévisions, Martin Adjari, la directrice générale d’Arte France, Anne Durupty ou encore Philippe Gault, président du Syndicat des radios et télévisions indépendantes.
Clôturent la « short-list » Anne Brucy, ancienne directrice de France Bleu et Matthieu Gallet, président de l’INA, qui avait déclaré ne pas être candidat à ce poste.