La France a pourtant pour elle de sérieux atouts : une économie diversifiée, une démographie « favorable », une excellente solvabilité, des coûts de financement accessibles. Mais pourquoi donc dégrader ainsi la note du pays ? Plusieurs raisons à cela.
La première et la plus importante, c'est la croissance jugée faible. Bercy a pronostiqué 1% de croissance pour 2015, puis de 1,5% pour l'année prochaine. Ce sont là des chiffres encourageants, surtout après trois années de stagnation, mais on aurait pu espérer plus. Hélas, la France profite moins que d'autres pays du vent de la reprise, pointe-t-on du côté de Moody's.
Cela est dû en grande partie aux « rigidités » politiques et institutionnelles du pays. Des problèmes de compétitivité liés par exemple aux vives discussions qui ont eu lieu durant le vote de la loi Macron, où la gauche de la gauche a failli faire capoter le projet censé libérer les énergies.
Toutefois, tout n'est pas perdu pour le pays. La France conserve, comme on l'a vu, de sérieux atouts. Ce qui explique la perspective « stable » accolée à la note de l'Hexagone : celle-ci ne devrait donc pas évoluer avant les élections présidentielles.
La première et la plus importante, c'est la croissance jugée faible. Bercy a pronostiqué 1% de croissance pour 2015, puis de 1,5% pour l'année prochaine. Ce sont là des chiffres encourageants, surtout après trois années de stagnation, mais on aurait pu espérer plus. Hélas, la France profite moins que d'autres pays du vent de la reprise, pointe-t-on du côté de Moody's.
Cela est dû en grande partie aux « rigidités » politiques et institutionnelles du pays. Des problèmes de compétitivité liés par exemple aux vives discussions qui ont eu lieu durant le vote de la loi Macron, où la gauche de la gauche a failli faire capoter le projet censé libérer les énergies.
Toutefois, tout n'est pas perdu pour le pays. La France conserve, comme on l'a vu, de sérieux atouts. Ce qui explique la perspective « stable » accolée à la note de l'Hexagone : celle-ci ne devrait donc pas évoluer avant les élections présidentielles.