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Ce projet de loi, mûri par par le prédécesseur d'Emmanuel Macron, Arnaud Montebourg, concernait à l'époque uniquement les professions réglementées. Le nouveau ministre de l'Économie a obtenu les coudées franches du Premier ministre et du président de la République pour en élargir le périmètre.
Les professions réglementées sont toujours vent debout contre ce projet de loi : plusieurs manifestations sont ainsi prévues du côté des huissiers, greffiers et avocats qui, après le vote de la loi, devront s'ouvrir à la concurrence. Ils veulent rien moins que l'abrogation du projet.
Les salariés du secteur du commerce sont également inquiets de l'ouverture dominicale des magasins, qui pourront avoir lieu 12 dimanches par an, contre cinq actuellement. Cette disposition est également combattue au sein même du Parti socialiste et de la majorité.
À tous ceux là, Emmanuel Macron a dit : « Ce qui me préoccupe, ce sont les vrais problèmes des Françaises et des Français, c'est qu'après cette loi, les Françaises et les Français vivent mieux, ce ne sont pas des postures, ce ne sont pas des débats faussement idéologiques ». Un travail va être entamé ces prochaines semaines avec le Parlement pour amender et bonifier la loi. Nul doute qu'à cette occasion, des dispositions vont évoluer.
Les professions réglementées sont toujours vent debout contre ce projet de loi : plusieurs manifestations sont ainsi prévues du côté des huissiers, greffiers et avocats qui, après le vote de la loi, devront s'ouvrir à la concurrence. Ils veulent rien moins que l'abrogation du projet.
Les salariés du secteur du commerce sont également inquiets de l'ouverture dominicale des magasins, qui pourront avoir lieu 12 dimanches par an, contre cinq actuellement. Cette disposition est également combattue au sein même du Parti socialiste et de la majorité.
À tous ceux là, Emmanuel Macron a dit : « Ce qui me préoccupe, ce sont les vrais problèmes des Françaises et des Français, c'est qu'après cette loi, les Françaises et les Français vivent mieux, ce ne sont pas des postures, ce ne sont pas des débats faussement idéologiques ». Un travail va être entamé ces prochaines semaines avec le Parlement pour amender et bonifier la loi. Nul doute qu'à cette occasion, des dispositions vont évoluer.