Depuis novembre dernier, Air France propose des lignes low cost au départ de Marseille, et entend bien contrer Easyjet et Ryanair, qui dominent actuellement le marché. En ouvrant des lignes low cost, Air France prévoit une augmentation de son offre en siège de l'ordre de 30 %, et compte bien regagner le réseau domestique qui est, depuis quelque temps, aux mains des compagnies low cost. Pour ce faire, Air France envisage une autre vision du low cost, en proposant des services comme les repas et collations gratuits ou le choix des sièges. Ce sont là des services qui ne sont pas proposés par les autres compagnies, et Air France compte bien séduire les passagers de cette façon. Mais Air France n’est pas la seule compagnie à avoir de fortes ambitions sur le marché low cost. En Asie, le ciel fait l’objet d’une guerre sans merci entre les compagnies.
L'Asie-Pacifique offre un vaste terrain de jeu pour les compagnies low cost, aussi ces dernières mènent une guerre virulente pour avoir une part du ciel. Ainsi, la compagnie Malaisienne AirAsia ambitionne de devenir une compagnie low cost d'envergure mondiale et a déjà annoncé une acquisition de 200 airbus A320 Neo. Les autres compagnies régionales se développent très vite et notammentla Tiger Airways , compagnie singapourienne qui investit activement dans l'acquisition de part de capital dans plusieurs compagnies. Ainsi, chacune ne se contente plus du marché domestique et vise désormais de plus larges horizons. Le marché du low cost fait donc l'objet de toutes les convoitises des compagnies aériennes, et même le fondateur d'Easy jet entend créer une nouvelle compagnie pour mieux profiter de l'essor de ce marché. Se plaignant de ne pas recevoir de dividendes de la part d’Easy Jet, ce dernier a déjà trouvé un nom à sa nouvelle compagnie ; Fast Jet
Fondateur de la compagnie Easy Jet, Sir Stelios Haji-Ioannou et sa famille détiennent 38 % de son capital. Cependant, depuis longtemps déjà les relations de Sir Stelios avec la compagnie sont mauvaises, car ce dernier se plaint de ne pas recevoir de dividendes. Ainsi, il a décidé de créer une nouvelle compagnie nommée Fast Jet. Voila une autre guerre du marché low cost dans laquelle Easy Jet entend protéger ses intérêts et ses actionnaires. La compagnie rappelle ainsi que son fondateur n'a pas le droit de posséder plus de 10 % d'une autre compagnie aérienne et d'utiliser le nom d'Easy Jet ou un dérivé. Mas qu'à cela ne tienne Sir Stelios a mis en ligne un site internet sous le nom de Fast Jet.com. Bien que non actif pour le moment, Easy Jet voit en ce site une réelle menace.
L'Asie-Pacifique offre un vaste terrain de jeu pour les compagnies low cost, aussi ces dernières mènent une guerre virulente pour avoir une part du ciel. Ainsi, la compagnie Malaisienne AirAsia ambitionne de devenir une compagnie low cost d'envergure mondiale et a déjà annoncé une acquisition de 200 airbus A320 Neo. Les autres compagnies régionales se développent très vite et notamment
Fondateur de la compagnie Easy Jet, Sir Stelios Haji-Ioannou et sa famille détiennent 38 % de son capital. Cependant, depuis longtemps déjà les relations de Sir Stelios avec la compagnie sont mauvaises, car ce dernier se plaint de ne pas recevoir de dividendes. Ainsi, il a décidé de créer une nouvelle compagnie nommée Fast Jet. Voila une autre guerre du marché low cost dans laquelle Easy Jet entend protéger ses intérêts et ses actionnaires. La compagnie rappelle ainsi que son fondateur n'a pas le droit de posséder plus de 10 % d'une autre compagnie aérienne et d'utiliser le nom d'Easy Jet ou un dérivé. Mas qu'à cela ne tienne Sir Stelios a mis en ligne un site internet sous le nom de Fast Jet.com. Bien que non actif pour le moment, Easy Jet voit en ce site une réelle menace.