Dans la catégorie des emplois « verts », le Ministère du Travail range les professionnels de la production et distribution d’énergie et d’eau, ceux de l’assainissement et du traitement des déchets, ainsi que ceux de la protection de la nature et de l’environnement. Quel que soit le type de profession verte, il s’agit principalement de salariés en CDI : c’est le cas pour 93 % des professionnels de la production et distribution d’énergie et d’eau, 87 % des professionnels de la protection de la nature et 85 % des professionnels de l’assainissement et du traitement des déchets. Le temps partiel était rare : il concerne 8 % des effectifs en moyenne.
Les professions « verdissantes », beaucoup plus nombreuses, relèvent de domaines d’activité variés comme le bâtiment (39,5 %), les transports (19,4 %), la recherche (8,9 %), l’agriculture, la sylviculture et l’entretien des espaces verts (6,0 %). Il s’agit principalement d’hommes relativement jeunes. La majorité est non diplômée ou diplômée de niveau CAP-BEP, du fait notamment d’une part importante d’ouvriers. Près d’un professionnel verdissant du bâtiment sur cinq est non salarié : artisan (maçon, menuisier, plombier etc.) ou architecte libéral. Les salariés sont majoritairement en CDI (65 %), mais ce chiffre contraste fortement avec celui constaté dans les emplois « verts ». Les CDD représentent 7%, et les contrats d’apprentissage, 6 %.
Le secteur des transports représente 20 % des emplois « verdissants ». C’est un emploi très masculin (seuls 8 % sont des femmes). Les deux tiers des effectifs ont plus de 40 ans. C’est également une filière qui compte peu de diplômés : 46 % ont un diplôme de niveau CAP-BEP et 32 % au plus le brevet des collèges.
20 autres % des emplois « verdissants » se retrouvent dans l’industrie et regroupent des professionnels de contrôle-qualité, de design industriel et de la maintenance.
Les professions « verdissantes », beaucoup plus nombreuses, relèvent de domaines d’activité variés comme le bâtiment (39,5 %), les transports (19,4 %), la recherche (8,9 %), l’agriculture, la sylviculture et l’entretien des espaces verts (6,0 %). Il s’agit principalement d’hommes relativement jeunes. La majorité est non diplômée ou diplômée de niveau CAP-BEP, du fait notamment d’une part importante d’ouvriers. Près d’un professionnel verdissant du bâtiment sur cinq est non salarié : artisan (maçon, menuisier, plombier etc.) ou architecte libéral. Les salariés sont majoritairement en CDI (65 %), mais ce chiffre contraste fortement avec celui constaté dans les emplois « verts ». Les CDD représentent 7%, et les contrats d’apprentissage, 6 %.
Le secteur des transports représente 20 % des emplois « verdissants ». C’est un emploi très masculin (seuls 8 % sont des femmes). Les deux tiers des effectifs ont plus de 40 ans. C’est également une filière qui compte peu de diplômés : 46 % ont un diplôme de niveau CAP-BEP et 32 % au plus le brevet des collèges.
20 autres % des emplois « verdissants » se retrouvent dans l’industrie et regroupent des professionnels de contrôle-qualité, de design industriel et de la maintenance.