Le prix du gaz va augmenter en juillet 2024
Les fournisseurs de gaz en France sont en train de prévenir leurs clients de la mauvaise nouvelle : les tarifs du gaz vont augmenter en juillet 2024. Très précisément, selon les informations de Ouest France, l’augmentation sera de 5,5 % pour les ménages qui utilisent le gaz pour le chauffage uniquement, et de 10,4 % pour ceux qui utilisent le gaz pour cuisson et eau chaude, mais sans chauffage.
Pour les consommateurs, cette nouvelle augmentation s’ajoute aux précédentes. Et elle va surtout ajouter plusieurs dizaines d’euros à la facture annuelle, en fonction évidemment de l’usage et de la consommation. Et la tendance à la hausse ne devrait pas s’inverser car bien que les prix sur les marchés de gros soient relativement stables, ils restent élevés… et le nombre de clients est en baisse en France.
Pour les consommateurs, cette nouvelle augmentation s’ajoute aux précédentes. Et elle va surtout ajouter plusieurs dizaines d’euros à la facture annuelle, en fonction évidemment de l’usage et de la consommation. Et la tendance à la hausse ne devrait pas s’inverser car bien que les prix sur les marchés de gros soient relativement stables, ils restent élevés… et le nombre de clients est en baisse en France.
Moins de consommateurs de gaz, mais toujours autant de réseau
La tendance des ménages à éliminer le gaz de leur équation énergétique, lui préférant l’électricité, pose un problème à GRDF, le distributeur principal du gaz naturel en France, et à GRTGaz, le gestionnaire du réseau. Car si la consommation est en baisse en France et que le nombre de consommateurs est également de moins en moins élevé, les coûts d’entretien et d’investissement ne changent pas.
Résultat : les ménages qui utilisent toujours le gaz, un peu plus de 10 millions en France, vont payer plus cher pour compenser le chiffre d’affaires et les revenus que n’apportent plus les quelques 200.000 foyers qui ont clôturé leur contrat depuis 2022.
Résultat : les ménages qui utilisent toujours le gaz, un peu plus de 10 millions en France, vont payer plus cher pour compenser le chiffre d’affaires et les revenus que n’apportent plus les quelques 200.000 foyers qui ont clôturé leur contrat depuis 2022.