Cartes de paiement : les cotisations augmentent, sauf pour les cartes à débit différé
Les cotisations des cartes de paiement internationales augmentent. Entre 2016 et 2017, la hausse est de 1,3 % pour les cartes à débit immédiat et de 2,5 % pour les cartes à autorisation systématique.
En même temps, le prix des cartes de paiement à débit différé diminue légèrement. Cette évolution s’inscrit d’ailleurs dans la durée puisque les années précédentes, le prix des cartes à débit différé diminuait ou augmentait moins vite que celui des cartes à débit immédiat. Conséquence : les cotisations des cartes de débit et de crédit continuent de converger.
En même temps, le prix des cartes de paiement à débit différé diminue légèrement. Cette évolution s’inscrit d’ailleurs dans la durée puisque les années précédentes, le prix des cartes à débit différé diminuait ou augmentait moins vite que celui des cartes à débit immédiat. Conséquence : les cotisations des cartes de débit et de crédit continuent de converger.
Les tarifs à destination des clients « fragiles » diminuent nettement
S’il y a une catégorie de clients qui sont choyés par leur banque, ce sont les personnes en situation de fragilité financière et qui ont réussi à le prouver à leur banque, afin de bénéficier d’une tarification spécifique. 88 % des établissements français en proposent une.
Le coût annuel moyen de ces offres est passé de 40,29 euros en janvier 2014 à 33,70 euros en janvier 2017, tandis que le prix annuel maximum est en diminution nette de 13,4 % et s’établit à 36,48 euros en 2017. Sept banques proposent même une offre gratuite à ces personnes. Il n’en reste pas moins qu’entre 2016 et 2017, 97,54 % des banques n’ont pas fait évoluer leurs tarifs à destination de ces publics.
Le coût annuel moyen de ces offres est passé de 40,29 euros en janvier 2014 à 33,70 euros en janvier 2017, tandis que le prix annuel maximum est en diminution nette de 13,4 % et s’établit à 36,48 euros en 2017. Sept banques proposent même une offre gratuite à ces personnes. Il n’en reste pas moins qu’entre 2016 et 2017, 97,54 % des banques n’ont pas fait évoluer leurs tarifs à destination de ces publics.