Selon Pôle Emploi, le nombre de chômeurs inscrits dans la catégorie A (n’ayant pas travaillé) a reculé de 36 300, une baisse de 1% par rapport à un mois de mars qui avait été catastrophique. En France métropolitaine, on compte désormais 3,472 millions de chômeurs (3,727 millions avec les outre-mer). Toutes les catégories d’âge sont concernées : les moins de 25 ans (-1,2%), les 25-49 ans (-1,9%), les 50 ans et plus (-1,1%).
Si l’on ajoute à cela la baisse de 0,4 point enregistrée par l’Insee pour le premier trimestre (l’institut a mesuré un taux de chômage au sens du BIT de 9,3%), ce sont donc de bonnes nouvelles pour Emmanuel Macron et le nouveau gouvernement d’Edouard Philippe. Même si le combat est évidemment loin d’être gagné : le nombre de demandeurs d’emplois dans les catégories B et C (ayant un peu travaillé) a fortement augmenté le mois dernier, de 3%. Signe d’une précarité du marché du travail qui ne devrait pas aller en s’arrangeant, étant donné la volonté du nouveau président de le flexibiliser dans les semaines à venir.
Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, a par ailleurs indiqué qu’elle ne commentera plus les données mensuelles du chômage, dont les variations sont parfois soumises à des aléas administratifs. Elle entend travailler avec les autorités compétentes afin de réfléchir aux « moyens de mieux éclairer le débat public à l’avenir, dans un double objectif de pertinence et de transparences accrues ».
Si l’on ajoute à cela la baisse de 0,4 point enregistrée par l’Insee pour le premier trimestre (l’institut a mesuré un taux de chômage au sens du BIT de 9,3%), ce sont donc de bonnes nouvelles pour Emmanuel Macron et le nouveau gouvernement d’Edouard Philippe. Même si le combat est évidemment loin d’être gagné : le nombre de demandeurs d’emplois dans les catégories B et C (ayant un peu travaillé) a fortement augmenté le mois dernier, de 3%. Signe d’une précarité du marché du travail qui ne devrait pas aller en s’arrangeant, étant donné la volonté du nouveau président de le flexibiliser dans les semaines à venir.
Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, a par ailleurs indiqué qu’elle ne commentera plus les données mensuelles du chômage, dont les variations sont parfois soumises à des aléas administratifs. Elle entend travailler avec les autorités compétentes afin de réfléchir aux « moyens de mieux éclairer le débat public à l’avenir, dans un double objectif de pertinence et de transparences accrues ».