cc/wikipedia
La question de la résidence fiscale suisse de Patrick Drahi avait déjà été soulevée par le ministre du Redressement Productif Arnaud Montebourg qui avait également mentionné le fait que la holding Altice de l’homme d’affaires était basée au Luxembourg. Des points négatifs pour le ministre qui prône le made in France et le patriotisme économique et qui penchait pour un rachat de SFR par Bouygues Telecom plutôt que par Numericable.
Fleur Pellerin, de son côté, avait préféré ne pas prendre position pour l’un ou l’autre opérateur dans ce projet de fusion. Elle est restée neutre le temps des négociations et de la décision de Vivendi, mais dans le Journal du Dimanche de ce 16 mars 2014, elle a tout de même rejoint son collègue.
Dans l’interview sur le sujet des changements dans le secteur des télécoms français, elle a estimé que « si Patrick Drahi devient le deuxième opérateur de télécoms en France, il serait logique qu'il rapatrie sa résidence fiscale en France et gère ses affaires depuis Paris. »
Une question cruciale à l’heure où le gouvernement tente de faire des efforts pour réduire les dépenses du pays alors que la France n’a pas atteint ses objectifs de déficit en dessous de 3% demandés par l’Union Européenne qui a été contrainte de lui laisser quelques années de répit.
Fleur Pellerin, de son côté, avait préféré ne pas prendre position pour l’un ou l’autre opérateur dans ce projet de fusion. Elle est restée neutre le temps des négociations et de la décision de Vivendi, mais dans le Journal du Dimanche de ce 16 mars 2014, elle a tout de même rejoint son collègue.
Dans l’interview sur le sujet des changements dans le secteur des télécoms français, elle a estimé que « si Patrick Drahi devient le deuxième opérateur de télécoms en France, il serait logique qu'il rapatrie sa résidence fiscale en France et gère ses affaires depuis Paris. »
Une question cruciale à l’heure où le gouvernement tente de faire des efforts pour réduire les dépenses du pays alors que la France n’a pas atteint ses objectifs de déficit en dessous de 3% demandés par l’Union Européenne qui a été contrainte de lui laisser quelques années de répit.