L’Intérêt de Fiat pour les Etats-Unis est grandissant et la fusion avec Chrysler réalisée en début d’année, fusion saluée par le président de Fiat et son directeur général délégué, mais aussi par la Bourse où le titre a fait un bon de plus de 16%, ont permis au groupe italien de se projeter dans un futur plus international.
Mais cette internationalisation du groupe, qui pourrait culminer, selon des sources proches du dossier, en une cotation sur l’indice boursier de Wall Street, le NYSE, inquiète fortement les autorités italiennes. Fiat a toujours eu, et ce depuis sa création il y a 115 ans, son siège à Turin et son principal site d’activités dans la même ville, avec l’usine Mirafiori, véritable symbole du succès industriel du constructeur automobile.
L’intérêt croissant du groupe pour l’international font craindre aux syndicats et au gouvernement un désintérêt du groupe pour son pays d’origine. Les usines Fiat italiennes n’auraient tourné, en moyenne en 2013, qu’à 41% de leurs capacités et es ventes de véhicules sont au plus bas, à des niveaux jamais atteints depuis plus de 40 ans.
Si le groupe se désintéresse de son pays, cela risque d’entraîner un coup dur pour l’emploi en Italie puisque Fiat est le premier employeur privé italien. Mais, selon le journal économique italien Il Sole 24 Ore, Sergio Marchionnne ne serait pas enclin à abandonner son pays d’origine. Il est attendu du groupe que de nouveaux projets voient le jour en Italie, sans doute en partenariat avec Chrysler mais aussi pour relancer de de ses autres marques : Alfa Romeo et Lancia.
Mais cette internationalisation du groupe, qui pourrait culminer, selon des sources proches du dossier, en une cotation sur l’indice boursier de Wall Street, le NYSE, inquiète fortement les autorités italiennes. Fiat a toujours eu, et ce depuis sa création il y a 115 ans, son siège à Turin et son principal site d’activités dans la même ville, avec l’usine Mirafiori, véritable symbole du succès industriel du constructeur automobile.
L’intérêt croissant du groupe pour l’international font craindre aux syndicats et au gouvernement un désintérêt du groupe pour son pays d’origine. Les usines Fiat italiennes n’auraient tourné, en moyenne en 2013, qu’à 41% de leurs capacités et es ventes de véhicules sont au plus bas, à des niveaux jamais atteints depuis plus de 40 ans.
Si le groupe se désintéresse de son pays, cela risque d’entraîner un coup dur pour l’emploi en Italie puisque Fiat est le premier employeur privé italien. Mais, selon le journal économique italien Il Sole 24 Ore, Sergio Marchionnne ne serait pas enclin à abandonner son pays d’origine. Il est attendu du groupe que de nouveaux projets voient le jour en Italie, sans doute en partenariat avec Chrysler mais aussi pour relancer de de ses autres marques : Alfa Romeo et Lancia.