Il s’est vendu en juillet 132 999 véhicules neufs en France, ce qui représente un recul de 9,6% des immatriculations par rapport au même mois de 2015. De prime abord, ce n’est donc pas très bon. Toutefois, c’est un chiffre qu’il convient de relativiser. En juillet, il n’y a eu que 20 jours ouvrables, deux de moins qu’en juillet 2015.
En données corrigées des jours ouvrables, le recul n’est que de 0,6%. Et malgré cette baisse importante pour le mois de juillet, la croissance reste solide depuis le début de l’année, puisqu’elle s’affiche à +5,4%. Tout le monde n’est malheureusement pas logé à la même enseigne. Certains constructeurs profitent plus que d’autres de la conjoncture, à l’instar de BMW qui a vu ses immatriculations neuves augmenter de 10,3% le mois dernier.
C’est beaucoup moins bon en revanche pour les groupes français. Renault accuse une baisse de 4,2% en juillet, mais cela aurait pu être pire : Nissan accuse en effet une perte de 23,1%. PSA en revanche est clairement dans le rouge avec une chute de 17,4%. Volkswagen n’est pas particulièrement en forme non plus avec une baisse notable de 17,3%.
En données corrigées des jours ouvrables, le recul n’est que de 0,6%. Et malgré cette baisse importante pour le mois de juillet, la croissance reste solide depuis le début de l’année, puisqu’elle s’affiche à +5,4%. Tout le monde n’est malheureusement pas logé à la même enseigne. Certains constructeurs profitent plus que d’autres de la conjoncture, à l’instar de BMW qui a vu ses immatriculations neuves augmenter de 10,3% le mois dernier.
C’est beaucoup moins bon en revanche pour les groupes français. Renault accuse une baisse de 4,2% en juillet, mais cela aurait pu être pire : Nissan accuse en effet une perte de 23,1%. PSA en revanche est clairement dans le rouge avec une chute de 17,4%. Volkswagen n’est pas particulièrement en forme non plus avec une baisse notable de 17,3%.