La consommation reste le premier moteur de la croissance de la France
Le premier moteur de cette croissance reste la consommation des ménages, qui s'est accélérée, passant d'une augmentation de 0,2% à 0,4% en avril 2024 selon l’Insee. Cette progression témoigne d'une amélioration de la confiance des consommateurs, essentielle pour stimuler la demande intérieure. La consommation a directement contribué à hauteur de 0,4 point au PIB, marquant une reprise notable par rapport au dernier trimestre de 2023.
Parallèlement, la formation brute de capital fixe (FBCF) a enregistré une croissance de 0,3%, signe d'un regain d'activité dans le secteur des investissements après une baisse significative au trimestre précédent. Cet indicateur est souvent perçu comme un baromètre de la confiance des entreprises dans l'économie à moyen et long terme.
Parallèlement, la formation brute de capital fixe (FBCF) a enregistré une croissance de 0,3%, signe d'un regain d'activité dans le secteur des investissements après une baisse significative au trimestre précédent. Cet indicateur est souvent perçu comme un baromètre de la confiance des entreprises dans l'économie à moyen et long terme.
Stocks et commerce n’aident pas la croissance
Le commerce extérieur, en avril 2024 selon l’Insee, a eu une contribution neutre sur la croissance ce trimestre, avec des hausses modérées tant dans les importations que dans les exportations. Un élément moins positif provient des variations de stocks, qui ont retranché 0,2 point à la croissance du PIB.
Bruno Le Maire s’est immédiatement félicité de ce résultat supérieur aux attentes, y compris celles de l’Insee. « À tous ceux qui veulent faire croire que notre économie est à l’arrêt: les faits sont têtus. La croissance française progresse. C’est un nouveau signe qui traduit la solidité de notre économie. La stratégie du gouvernement est payante », a-t-il déclaré. Le gouvernement a néanmoins dû revoir en début d’année sa prévision de croissance à la baisse. Initialement, il tablait sur une croissance pour la France de 1,4% en 2024, prévision jugée plus qu’optimiste pour l’ensemble des observateurs.
Bruno Le Maire s’est immédiatement félicité de ce résultat supérieur aux attentes, y compris celles de l’Insee. « À tous ceux qui veulent faire croire que notre économie est à l’arrêt: les faits sont têtus. La croissance française progresse. C’est un nouveau signe qui traduit la solidité de notre économie. La stratégie du gouvernement est payante », a-t-il déclaré. Le gouvernement a néanmoins dû revoir en début d’année sa prévision de croissance à la baisse. Initialement, il tablait sur une croissance pour la France de 1,4% en 2024, prévision jugée plus qu’optimiste pour l’ensemble des observateurs.