Croissance : moins bien en 2023, du mieux jusqu’en 2026
La Banque de France a révisé ses prévisions pour 2023, annonçant un ralentissement à 0,8%, suivi d'une accélération graduelle jusqu'en 2026. Les prévisions sont complètes, avec une croissance attendue de 0,9% en 2024, 1,3% en 2025, et 1,6% en 2026. François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque, précise : « C'est un ralentissement, incontestable, mais ce n'est pas une récession ».
Il souligne une reprise nette pour 2025 et 2026, attribuée à la sortie du problème de l'inflation. Cette dernière a été au centre de la stratégie de politique économique et monétaire du gouvernement dès la fin de la pandémie de Covid-19, mais surtout de la Banque Centrale Européenne (BCE) qui a relevé ses taux directeurs pour faire tomber l’inflation. Son objectif de long terme ? Une inflation à 2% par an.
Il souligne une reprise nette pour 2025 et 2026, attribuée à la sortie du problème de l'inflation. Cette dernière a été au centre de la stratégie de politique économique et monétaire du gouvernement dès la fin de la pandémie de Covid-19, mais surtout de la Banque Centrale Européenne (BCE) qui a relevé ses taux directeurs pour faire tomber l’inflation. Son objectif de long terme ? Une inflation à 2% par an.
La baisse de l'inflation et le retour du pouvoir d'achat
L'inflation, un défi majeur pour l'économie, est en voie de stabilisation. La Banque prévoit une inflation moyenne de 5,7% en 2023, tombant à 2,5% en 2024. Soit un niveau très proche de l’objectif de la BCE. Et surtout très loin des plus de 7% de hausse des prix annuelle enregistrés fin 2022 et début 2023.
François Villeroy de Galhau affirme : « Nous allons ramener l'inflation à 2% d'ici 2025 au plus tard ». Si le succès est au rendez-vous, ce seront surtout les ménages qui le ressentiront par le biais d’une amélioration du pouvoir d’achat. Le gouverneur ajoute : « Les prix vont augmenter moins vite que les salaires ».
François Villeroy de Galhau affirme : « Nous allons ramener l'inflation à 2% d'ici 2025 au plus tard ». Si le succès est au rendez-vous, ce seront surtout les ménages qui le ressentiront par le biais d’une amélioration du pouvoir d’achat. Le gouverneur ajoute : « Les prix vont augmenter moins vite que les salaires ».