Les institutions de l’Union Européenne vont devoir changer leurs dirigeants à la fin de l’année, ce qui ouvre la possibilité de nouvelles candidatures dans le courant de l’année. Et si Christine Lagarde n’en a pas encore touché mot officiellement, l’hebdomadaire The Economist appuie sa candidature dans son édition de cette semaine, sans pour autant la préférer à l’un ou l’autre des deux postes clé de l’Union Européenne : Présidence de l’Union ou de la Commission.
Pour la présidente du FMI, prendre la tête d’une des institutions européennes n’est pas « une priorité ». Elle ne nie pourtant pas la possibilité d’une candidature. D’autant plus que, selon The Economist et de nombreux analystes, elle aurait des soutiens de poids autant pour prendre la succession de Manuel Barroso autant pour celle de Herman van Rompuy à la tête de la Commission Européenne.
En effet, Christine Lagarde pourrait compter, entre autres, sur des appuis dans les principales capitales européennes. Paris, bien sûr, mais également Londres ou encore Berlin où elle aurait l’appui de la chancelière Angela Merkel.
Un détail semble étayer l’hypothèse de voir Christine Lagarde candidate à l’un de ces deux postes, même si le congrès des partis conservateurs européens qui se tiendra les 6 et 7 mars prochains à Dublin devrait donner une meilleure lumière sur la chose : lors de la présentation d’un essai d’experts sur la reprise en Europe, elle aurait dit qu’il pourrait servir « à ceux qui s’embarquent dans une carrière de dirigeant européen ».
Cela, ajouté aux éloges qui ont foisonné pendant cette présentation à Bruxelles, laisse entendre qu’un début de campagne pourrait être en cours.
Pour la présidente du FMI, prendre la tête d’une des institutions européennes n’est pas « une priorité ». Elle ne nie pourtant pas la possibilité d’une candidature. D’autant plus que, selon The Economist et de nombreux analystes, elle aurait des soutiens de poids autant pour prendre la succession de Manuel Barroso autant pour celle de Herman van Rompuy à la tête de la Commission Européenne.
En effet, Christine Lagarde pourrait compter, entre autres, sur des appuis dans les principales capitales européennes. Paris, bien sûr, mais également Londres ou encore Berlin où elle aurait l’appui de la chancelière Angela Merkel.
Un détail semble étayer l’hypothèse de voir Christine Lagarde candidate à l’un de ces deux postes, même si le congrès des partis conservateurs européens qui se tiendra les 6 et 7 mars prochains à Dublin devrait donner une meilleure lumière sur la chose : lors de la présentation d’un essai d’experts sur la reprise en Europe, elle aurait dit qu’il pourrait servir « à ceux qui s’embarquent dans une carrière de dirigeant européen ».
Cela, ajouté aux éloges qui ont foisonné pendant cette présentation à Bruxelles, laisse entendre qu’un début de campagne pourrait être en cours.