A la veille de la réunion de la BCE qui s’est tenue le vendredi 4 avril 2014, Christine Lagarde avait conseillé à Mario Draghi de prendre les mesures nécessaires pour résoudre le problème de l’inflation en Europe. Actuellement à 0,5%, l’inflation devrait, pour la BCE, être aux alentours de 2%. Mais ce conseil a mal été perçu par l’économiste italien.
Mario Draghi avait alors répondu à Christine Lagarde que s’il se disait « reconnaissant » des conseils prodigués par le FMI à la BCE, il aimerait que le Fonds Monétaire International fasse « de même » avant les réunions d’autres institutions bancaires importantes, « comme la Fed », la banque centrale américaine.
La réponse de Mario Draghi n’a, de son côté, pas plu à la présidente du FMI. Dimanche 6 avril 2014 elle a donc tenu à remettre les choses au clair et à clamer l’indépendance du FMI.
« Nous disons ce que nous avons à dire quand nous estimons nécessaire de le dire » a déclaré Christine Lagarde lors d’un entretien accordé à la chaîne américaine Fox News. Elle estime que les conseils donnés par le FMI sont indépendants « des agendas des autres institutions » avant de frapper un grand coup répétant que « cela fait longtemps que nous estimons nécessaire que la BCE affronte le problème de l’inflation ».
Mario Draghi avait alors répondu à Christine Lagarde que s’il se disait « reconnaissant » des conseils prodigués par le FMI à la BCE, il aimerait que le Fonds Monétaire International fasse « de même » avant les réunions d’autres institutions bancaires importantes, « comme la Fed », la banque centrale américaine.
La réponse de Mario Draghi n’a, de son côté, pas plu à la présidente du FMI. Dimanche 6 avril 2014 elle a donc tenu à remettre les choses au clair et à clamer l’indépendance du FMI.
« Nous disons ce que nous avons à dire quand nous estimons nécessaire de le dire » a déclaré Christine Lagarde lors d’un entretien accordé à la chaîne américaine Fox News. Elle estime que les conseils donnés par le FMI sont indépendants « des agendas des autres institutions » avant de frapper un grand coup répétant que « cela fait longtemps que nous estimons nécessaire que la BCE affronte le problème de l’inflation ».