C'est dans le cadre du « Pacte 2020 » que ce principe pour le moins original a été acté. La direction a promis de ne licencier personne d'ici 2020, en échange d'une augmentation du temps de travail sans rémunération supplémentaire jusqu'en 2019. Ensuite, le temps de travail sera réduit à 37 heures, puis à 35 heures d'ici 2020.
La direction est passée outre les vetos des syndicats majoritaires, c'est à dire la CGT et la CFDT, au travers d'un référendum consultatif organisé il y a un an : les employés ont voté le pacte à 56%, avec des cadres et techniciens bien plus favorables (74%) que les ouvriers (39%). Dans un contexte difficile (délocalisations, mouvement contre la loi Travail…), la direction a ensuite dû obtenir les avenants au contrat de travail des employés de l'usine : ils ont été 95% à signer.
Les syndicats, qui ont été court-circuités sur ce dossier, évoquent des pressions sur les salariés. Mais l'usine qui produit 100 000 véhicules va bel et bien rester à Hambach, et ne procédera à aucun licenciement économique d'ici 2020.
La direction est passée outre les vetos des syndicats majoritaires, c'est à dire la CGT et la CFDT, au travers d'un référendum consultatif organisé il y a un an : les employés ont voté le pacte à 56%, avec des cadres et techniciens bien plus favorables (74%) que les ouvriers (39%). Dans un contexte difficile (délocalisations, mouvement contre la loi Travail…), la direction a ensuite dû obtenir les avenants au contrat de travail des employés de l'usine : ils ont été 95% à signer.
Les syndicats, qui ont été court-circuités sur ce dossier, évoquent des pressions sur les salariés. Mais l'usine qui produit 100 000 véhicules va bel et bien rester à Hambach, et ne procédera à aucun licenciement économique d'ici 2020.