Cédric Villani, un curieux personnage...
Ce qui frappe avant tout chez ce curieux personnage, c'est son look très élégant puisqu'il ne sort jamais sans sa broche-araignée sur sa veste, sa lavallière, sans oublier son costume trois-pièces. Il est également assez étrange et mystérieux lorsqu'on le voit pour la première fois, comme s'il analysait sans cesse un écosystème inconnu. Lorsqu'il parle, il sort calmement des sons doux, alors que dans son cerveau, tout va très vite. D'où nous vient donc ce personnage mystérieux qui se cache derrière ses apparences posées de génie extraordinaire ? Il a fait quatre années d'études à l'ENS (École Normale Supérieure) et a été responsable de la réalisation des festivités lors de la célébration des 200 années d'existence de l'École. Il a aussi été président du Bureau des élèves lorsqu'il était en 2e et 3e année. Un élève modèle.
Lorsqu'il découvre son amour pour les mathématiques
C'était un étudiant surdoué qui avait d’excellents résultats y compris bien sûr en mathématiques. Mais il découvrira que plus tard dans ses études, en classe préparatoire, sa passion pour cette matière. Des années plus tard, en 1998, il soutient alors sa thèse à l'Université Paris-Dauphine dirigée par Pierre-Louis Lions, ancien lauréat de la médaille Fields et c'est à ce moment qu'il tombe complètement sous le charme des mathématiques et en fera sa première préoccupation. Il prend comme point de départ les équations mathématiques de la théorie cinétique, avec un amour pour l'algèbre. Grâce à cela, il a par exemple reçu le prix Fermat en 2009, mais on lui décernera aussi le Prix Henri Poincaré de l'Association Internationale de Physique mathématique. De prix en médaille, il obtient la médaille Fields en 2010.
Cédric Villani, lauréat de la médaille Fields 2010
Dans le monde des mathématiques, la médaille Fields est la plus haute distinction, équivalant au prix Nobel. Il avait déjà été nominé pour ce prix mais remporte la médaille Fields en 2010 avec dignité, lors du congrès international des mathématiciens qui s’est déroulé à Hyderabad en Inde. Ses recherches ont époustouflé le jury, car elles se focalisent sur l'analyse des probabilités, la physique statistique et dernièrement la géométrie différentielle. Ses travaux sur la théorie cinétique, l'équation de Boltzmann et le transport optimal lui ont également valu cette immense récompense. Ses recherches ont en fait permis d'établir une mise en relation entre l'analyse et la géométrie, de quoi surprendre aussi les autres chercheurs.
Ce qui frappe avant tout chez ce curieux personnage, c'est son look très élégant puisqu'il ne sort jamais sans sa broche-araignée sur sa veste, sa lavallière, sans oublier son costume trois-pièces. Il est également assez étrange et mystérieux lorsqu'on le voit pour la première fois, comme s'il analysait sans cesse un écosystème inconnu. Lorsqu'il parle, il sort calmement des sons doux, alors que dans son cerveau, tout va très vite. D'où nous vient donc ce personnage mystérieux qui se cache derrière ses apparences posées de génie extraordinaire ? Il a fait quatre années d'études à l'ENS (École Normale Supérieure) et a été responsable de la réalisation des festivités lors de la célébration des 200 années d'existence de l'École. Il a aussi été président du Bureau des élèves lorsqu'il était en 2e et 3e année. Un élève modèle.
Lorsqu'il découvre son amour pour les mathématiques
C'était un étudiant surdoué qui avait d’excellents résultats y compris bien sûr en mathématiques. Mais il découvrira que plus tard dans ses études, en classe préparatoire, sa passion pour cette matière. Des années plus tard, en 1998, il soutient alors sa thèse à l'Université Paris-Dauphine dirigée par Pierre-Louis Lions, ancien lauréat de la médaille Fields et c'est à ce moment qu'il tombe complètement sous le charme des mathématiques et en fera sa première préoccupation. Il prend comme point de départ les équations mathématiques de la théorie cinétique, avec un amour pour l'algèbre. Grâce à cela, il a par exemple reçu le prix Fermat en 2009, mais on lui décernera aussi le Prix Henri Poincaré de l'Association Internationale de Physique mathématique. De prix en médaille, il obtient la médaille Fields en 2010.
Cédric Villani, lauréat de la médaille Fields 2010
Dans le monde des mathématiques, la médaille Fields est la plus haute distinction, équivalant au prix Nobel. Il avait déjà été nominé pour ce prix mais remporte la médaille Fields en 2010 avec dignité, lors du congrès international des mathématiciens qui s’est déroulé à Hyderabad en Inde. Ses recherches ont époustouflé le jury, car elles se focalisent sur l'analyse des probabilités, la physique statistique et dernièrement la géométrie différentielle. Ses travaux sur la théorie cinétique, l'équation de Boltzmann et le transport optimal lui ont également valu cette immense récompense. Ses recherches ont en fait permis d'établir une mise en relation entre l'analyse et la géométrie, de quoi surprendre aussi les autres chercheurs.