Enchanté, le maire de Bordeaux Alain Juppé — également candidat à la primaire de droite pour les élections présidentielles — a salué l'annonce des autorités, estimant qu'il s'agissait d'une « bonne nouvelle pour Bordeaux et l'Aquitaine ». C'est, évidemment, également le cas d'Alain Vidalies, le secrétaire d'État aux transports, qui a déclaré que « le soutien du gouvernement aux LGV Bordeaux-Dax et Toulouse marque une étape importante pour l'avenir de l'arc Atlantique et du Sud-Ouest ».
Mais d'autres sont plus circonspects. C'est le cas de José Bové, eurodéputé Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui a rappelé l'avis négatif de la Commission d'enquête publique. Cette commission, dont le jugement est consultatif, a estimé que les autorités n'avaient pas suffisamment pris en compte les aspects environnementaux de ce projet. De même, les alternatives à la grande vitesse n'auraient pas été suffisamment étudiées, et que les zones rurales et les villes moyennes allaient souffrir de la « métropolisation » des villes sur le tracé.
Les premiers trains circuleront entre Bordeaux et Toulouse en 2024, et en 2027 entre Bordeaux et Dax, si les travaux se déroulent sans heurts.
Mais d'autres sont plus circonspects. C'est le cas de José Bové, eurodéputé Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui a rappelé l'avis négatif de la Commission d'enquête publique. Cette commission, dont le jugement est consultatif, a estimé que les autorités n'avaient pas suffisamment pris en compte les aspects environnementaux de ce projet. De même, les alternatives à la grande vitesse n'auraient pas été suffisamment étudiées, et que les zones rurales et les villes moyennes allaient souffrir de la « métropolisation » des villes sur le tracé.
Les premiers trains circuleront entre Bordeaux et Toulouse en 2024, et en 2027 entre Bordeaux et Dax, si les travaux se déroulent sans heurts.